La décadence politique du macronisme central avait commencé à émerger des urnes des élections présidentielles.
Il n’a pas été entièrement surpris par les résultats des élections législatives d’hier en France. La décadence politique du macronisme central avait commencé à émerger des urnes des élections présidentielles. Hier, pourtant, le président Macron a payé une part disproportionnée de ses dépenses électorales tout en faisant face à de graves problèmes de gouvernance.
Malgré les lectures tumultueuses du gauchisme radical typiques du discours politique généralement fiévreux de cet espace idéologico-politique, le patchwork de coalition sous Melanson émerge comme l’opposition officielle, mais sans atteindre son objectif de sièges parlementaires, alors qu’à droite de la Continuum politique, la Coalition nationale de Marine Le Pen rallie 89 sièges contre 61 sièges de la droite républicaine démocratique golique.
Sur la base de ces données, l’évolution politique vraiment désagréable pour le président central, comme le soulignent depuis ce matin les hauts responsables de la division centrale, n’est ni la perte de la majorité absolue des sièges ni le ton solennel de la coalition de gauche sous Melanson. De plus, avec la gauche radicale, le Macron libéral n’a jamais laissé ou laissé de place à la réconciliation politique. L’évolution malheureuse a à voir avec le refus des républicains Goliath, qui disent qu’ils resteront dans l’opposition même si Macron espère et investit pour former une coalition au pouvoir avec eux.
Si ces faits se confirment, le président du centre est appelé à s’occuper des causes du solde électoral négatif et, surtout, à réfléchir et à planifier la suite de son mandat, qui a été prolongé il y a quelques semaines.
Le centriste Macron semble avoir payé cher la démagogie venimeuse de ses adversaires du sous-système des partis d’extrême gauche et d’extrême droite. Pour Melanson et Le Pen, Macron n’aurait pas dû se ranger du côté de l’Ukraine en proie à des conflits mais, au contraire, aurait dû mener une politique d’égale distance vis-à-vis de Moscou et de Kyiv.
Or, selon les sondages d’opinion de ces derniers mois, ce n’est pas l’attitude envers la guerre qui a coûté aux citoyens français les campagnes électorales, mais plutôt les questions de soi-disant « politique intérieure », dans la mesure où elles peuvent être circoncisées et examinées indépendamment de la critique internationale développements. La crise énergétique, la hausse des prix des matières premières et la hausse de l’inflation associée, la baisse du pouvoir d’achat des citoyens et un style de gouvernement socialement distancié ont joué un rôle décisif dans la dernière rhétorique de crise électorale du président actuel sur l’élitisme et l’arrogance politique.
La France entre désormais dans la constellation des conflits principalement entre le centre libéral et la gauche radicale. En fait, le président Macron s’efforce de faire passer des réformes sociales et économiques, telles que l’extension très discutée de l’âge de travailler à 65 ans, pour empêcher l’effondrement du système d’assurance du pays. Les objections verticales et les chants rhétoriques de Melanson, mais aussi de Le Pen, doivent être vus comme des faits nouveaux de la vie politique française.
Une issue pour le président Macron est des élections anticipées ou, très probablement, une tentative de former un gouvernement coopératif. Dans ce second cas, le président centriste doit insister sur le choix de la coexistence avec la droite golicienne. Idéologiquement et programmatiquement, la formation centriste et la droite démocratique traditionnelle présentent des éléments d’osmose. Les réformes libérales de l’économie, les changements dans le paysage administratif de l’État, l’orientation européenne du pays et l’occidentalisation sont des hypothèses communes dans les programmes politiques des deux partis.
Cependant, si le Parti républicain insiste sur la logique du déni, le président actuel devrait immédiatement chercher des alternatives pour éviter qu’un président ne soit pris en otage par une institution particulière et ne soit confronté à de graves problèmes dans l’administration et la mise en œuvre du programme.
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