Le nouveau consul général de France à Thessalonique, Jean-Luc Laveau, a souligné que plusieurs entreprises françaises ont quitté le pays pendant la crise financière et le coronavirus mais peuvent désormais y revenir.
Un fort potentiel pour renforcer la présence des investisseurs français en Grèce du Nord «voit» le nouveau consul général de France à Thessalonique Jean-Luc Laveau (Jean Luc Lavaud), qui s’attend à une expansion des infrastructures portuaires, ferroviaires et routières dans la région dans les années à venir, avec une série de projets auxquels pourraient également participer les entreprises françaises, et admet qu’il y avait aussi intérêt pour le développement de la région d’Alexandroupoli.
Dans sa première interview depuis sa prise de fonction en septembre dernier, le nouveau Consul Général de France révèle également une partie importante des événements organisés en France Thessalonique et dans un sens plus large Grèce du Nordà l’occasion de l’organisation du plus grand événement sportif de l’année, par Jeux olympiquesde Paris.
M. Lavos le souligne particulièrement en ce qui concerne le domaine des investissements. « Nous pouvons améliorer considérablement la présence des investisseurs français. » Thessalonique et cela Grèce du Nord plus large »et a souligné que, selon ses conclusions, plusieurs entreprises françaises avaient quitté le pays pendant la crise financière et le coronavirus mais pourraient désormais y revenir.
En conséquence, la présence des investisseurs grecs est en France a des opportunités d’expansion et la partie française va dans ce sens avec la réouverture de son bureau Entreprises France à Athènes, fermée à cause du coronavirus et rouverte en 2023. L’objectif de ce service, en lien avec les actions de la Direction Financière de l’Ambassade de France dans la capitale grecque, est d’être un interlocuteur en priorité pour les entreprises grecques qui envisagent d’investir sur le territoire français ou pour les entreprises françaises qui souhaitent investir. Hellas.
Il promet en effet de faire tout ce qui est en son pouvoir pour développer les investissements des deux côtés et, en termes de domaines d’intérêt, mentionne notamment le secteur agroalimentaire qui, selon lui, offre de nombreuses opportunités.
Il ne laisse pas non plus de côté les références à la présence de grandes entreprises françaises, comme : ÉGIDE dans le projet de métro Thessalonique (ss le consortium italo-français ATM EGIS a pris en charge la maintenance et l’exploitation du système de métro). Il exprime en effet la certitude que le géant français peut offrir encore plus dans le secteur des transports en Grèce.
« Par exemple, dit-il, « dans son port Thessalonique Le réseau ferroviaire doit être amélioré car il n’y a pas de port sans chemin de fer. Je suis sûr qu’il y aura beaucoup à faire ici, dans le nord de la Grèce, dans les années à venir, tant en termes de ports et de chemins de fer que de réseau routier.».
A la question de savoir si les entreprises françaises s’intéressent au développement du secteur énergétique dans la région Alexandroupolisle consul général de France répond que oui, bien sûr. « Nous nous sommes rendus à Alexandroupolis en décembre dernier avec l’ambassadeur et la Chambre de commerce gréco-française ainsi que des représentants d’entreprises françaises pour voir ce qui pouvait être fait. Nous cartographions les opportunités » Mentionne de manière caractéristique M. Lavos.
Un autre domaine présentant un potentiel de croissance est tourisme. De nombreux touristes français choisissent cela Hellas Cependant, la plupart des gens préfèrent les îles pendant leurs vacances, et le nord de la Grèce leur semble une terra incognita. Cependant, M. Laveau estime que cela pourrait changer car la région offre de nombreuses opportunités de tourisme alternatif, vers lesquelles se sont tournés de nombreux Français.
« Il y a beaucoup de Français qui voyagent là-bas Hellas. En fait, leur nombre a augmenté au cours de la dernière année. Un pourcentage d’entre eux se désintéresse peu à peu du tourisme de masse. Il existe donc une grande opportunité pour le nord de la Grèce dans le domaine du tourisme alternatif. Il souligne qu’il est convaincu que nous verrons davantage de touristes français dans la région dans les années à venir.
Lorsqu’on lui a demandé si l’existence d’une liaison aérienne directe toute l’année avec Paris aiderait dans cette direction, il a répondu positivement, mais a souligné que si la demande était suffisante, les compagnies aériennes proposeraient une offre correspondante. « Pour elle Grèce du NordLe grand défi est de ne pas devenir une destination de tourisme de masse et de perdre sa « saveur » particulière. souligné.
M. Lavo ne cache pas sa satisfaction de voir le nombre d’étudiants augmenter Hellas qui choisissent le français comme langue seconde à l’école primaire. Surtout pas à Grèce du Nordau cours des trois dernières années, nous avons connu une croissance moyenne de 4-8%, selon les zones, dit-il. Il souligne également qu’il y a également des efforts en collaboration avec le ministère grec de l’Éducation « pour améliorer encore la portée de l’enseignement du français dans les écoles ».
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