Nous ne regardons pas Ball (pour le moment), mais nous aimons toujours Ball. Et dans ce coin, nous nous souviendrons toujours d’un match qui a fait l’éloge du football à sa manière.
À partir des années 1990, la France a connu de grands succès en remportant deux Coupes du monde (1998, 2018) et un Championnat d’Europe (2000) en vingt ans, tout en atteignant également deux autres finales, une à la Coupe du monde (2006) et une à l’Euro. (2016).
Pourtant, avant ces vingt années « en or », les Tricolores recherchaient avec le… fusil un exploit dont ils seraient fiers, à la (double) brillante exception bien sûr en 1984, où ils remportèrent le Championnat d’Europe et en deux mois la médaille d’or aux Jeux Olympiques de Los Angeles.
Le deuxième succès bien sûr, entraîné par Henri Michel, brièvement sur le banc de l’Aris en 2001, est venu surtout de joueurs… de deuxième vitesse après la participation d’Afangate au précédent Championnat d’Europe.
Dans ce document, dirigé par Michel Hidalgo, le est décédé il y a quelques semainesLe film mettait en vedette, entre autres, Michel Platini, Alain Gires et Jean Tigan.
La France, qui avait été blanchie par l’Allemagne de l’Ouest lors de la finale de la Coupe du monde en Espagne deux ans plus tôt, a réussi à soulever le trophée à domicile grâce à une victoire finale contre l’Espagne.
Cependant, le grand match de cet événement s’est déroulé en demi-finale. Le 23 juin 1984, dans le Vélodrome bondé de Marseille, la France bat le Portugal en prolongation (3-2), au terme d’un match passionnant et marqué par des hauts et des bas constants.
L’équipe de Fernando Cabrita, composée de stars comme Fernando Gomes et Rui Jordao, a pris du retard relativement tôt (24e minute, Domerz), elle a eu… un flot d’occasions, mais grâce aux arrêts de Manuel Bento, elle a fait preuve de caractère et a égalisé avec l’élimination de Jordao ( 74ème). ‘) et envoie le match en prolongation, où il prend l’avantage avec le même joueur (98’).
Au fil des minutes, l’élimination surprise semblait plus proche que jamais pour les hôtes, qui ont marqué deux fois en finale. Tout d’abord, Jean-François Domerz a égalisé (114e) et une minute avant les tirs au but, Platini détenait « la clé du paradis », comme l’écrivait le lendemain le journal « L’Equipe » (photo) et a finalement fait pencher la balance pour l’éventuel Champions d’Europe.
France – Portugal 3-2 (prolongations)
(24′, 114′ Domerz, 119′ Platini – 74′, 98′ Jordão)
France (Michel Hidalgo) : Chauves-souris – Battiston, Bossy, Le Roux, Domerz – Tigana, Zires, Platini, Luis Fernandez – Lacomb (66′ Ferreri), Six (101′ Bellon).
Portugal (Fernando Cabrita): Bento – Joao Pinto, Eurico, Lima Pereira, Alvaro – Frasco, Souza (63′ Nene), Jaime Paseko, Salana – Diamantino (45′ Gomes), Jordao.
Arbitre: Paolo Bergame (Italie)
Top 50 des matchs de tous les temps (1) : Allemagne – Italie 0-2 (2006)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (2) : Argentine 2-1 Angleterre (1986)
Les 50 plus grands matchs de tous les temps (3) : Real – Eintracht 7-3 (1960)
Les 50 plus grands matchs de tous les temps (4) : Manchester United. – Benfica 4-1 (1968)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (5) : Italie 4-3 Allemagne de l’Ouest (1970)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (6) : Barcelone contre Fortuna Düsseldorf 4:3 (1979)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (7) : Pays-Bas 4-0 Argentine (1974)
Top 50 des matchs de tous les temps (8) : Manchester City – Real Madrid 4-3 (2003)
Top 50 des matchs de tous les temps (9) : Portugal – Corée du Nord 5-3 (1966)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (10) : Italie 3-2 Brésil (1982)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (11) : La Corogne – AC Milan 4-0 (2004)
Top 50 des matchs de tous les temps (12) : Nigeria – Brésil 4-3 (1996)
Top 50 des matchs de tous les temps (13) : Real Madrid – Barcelone 2-6 (2009)
Top 50 des matchs de tous les temps (14) : Brésil – Uruguay 1-2 (1950)
Top 50 des matchs de tous les temps (15) : Steaua Vuk. –Milan 0-4 (1989)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (16) : Pays-Bas 2-0 Union soviétique (1988)
Les 50 meilleurs matchs de tous les temps (17) : Ajax – Bayern 4-0 (1973)
« Nerd passionné des médias sociaux. Accro à la nourriture. Maven du Web. Expert de la télévision sans vergogne. Penseur amical. »