Dans la « glace », il semble que le Turquie comme ses membres Alliance de l’Atlantique Nord ils ne cachent pas leur mécontentement face aux contacts étroits d’Ankara avec Moscou et aux opérations turques dans le nord de la Syrie.
L’attitude ambivalente cultivée depuis des mois Recep Tayyip Erdoğan entre l’Ouest et l’Est suscite un profond malaise au sein de l’Otan, surtout au moment où les Alliés veulent faire preuve de courage et de front uni face à la menace russe.
La Turquie était absente
La marginalisation de la Turquie se reflète également sur le territoire, où les forces des voisins sont absentes de presque toutes les grandes activités alliées. Un exemple typique est la présence simultanée dans la mer Ionienne de trois porte-avions de France, d’Italie et des États-Unis, accompagnés d’au moins douze navires, mais pas un seul turc. Le français « Charles de Gaulle CSG », l’américain « George HW Bush CSG » et l’italien « Cavour CSG » se rencontrent pour la première fois en Méditerranée orientale dans un mouvement de haute symbolique et de substance.
Cependant, à un moment où l’OTAN projette sa puissance Co-formation de trois fleuronstransportant des dizaines d’avions de chasse et d’hélicoptères, des milliers d’officiers et un « parapluie » pour se protéger contre les navires de guerre et les sous-marins, La Turquie est absentedes sources militaires de haut rang interprétant cette évolution comme un message retentissant de l’alliance à Ankara.
La Grèce est au top
D’autre part, La Grèce renforce sa position dans l’alliance, car dans ses eaux, il « abrite » non seulement l’avant-garde des forces navales de l’OTAN, mais fournit également des unités telles que la frégate « ADRIAS » et un sous-marin de la flotte pour leur protection.
Dans le même temps, les avions des Battle Squadrons de Tanagra, Andravida, Volos, Araxos et Souda décollent pour des « batailles » épiques dans les airs dans le cadre d’entraînements conjoints avec les chasseurs des porte-avions alliés.
La « confrontation » se poursuit aujourd’hui avec le pilonnage des Rafale français au pas de tir, mais des formations mixtes de F-16 grecs et de Rafale avec les avions Charles de Gaulle CSG.
Alliance face aux défis
Les initiatives d’Athènes pour renforcer son axe d’alliance à l’intérieur et à l’extérieur de l’OTAN portent leurs fruits, créant un « mur » de dissuasion impénétrable contre les Agression turque.
Les accords de défense avec Paris et Washington, mais aussi l’inclusion de l’Italie dans le schéma »Grèce – Chypre – France» Apporter une présence militaire plus importante et plus substantielle dans les eaux de la Méditerranée orientale.
Dans le même temps, les liens de défense de plus en plus renforcés avec l’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et Israël sont une reconnaissance du rôle de la Grèce en tant que garant de la sécurité et de la stabilité dans la région.
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