Les Jeux olympiques de 2024 se tiendront à Paris et le gouvernement français étudie les moyens de réduire les embouteillages attendus dans les rues de la capitale française. Paris, comme la plupart des grandes villes, connaît de sérieux problèmes de circulation et avec des millions de visiteurs dans la ville les jours de course, il est certain que des conditions suffocantes se développeront sur le réseau routier de la capitale française.
Le gouvernement français et les autorités parisiennes étudient les moyens de réduire la congestion du trafic et envisagent sérieusement l’utilisation de taxis aériens pour transporter les touristes et les résidents dans la ville pendant les Jeux. Ces dernières années, de nombreuses voitures particulières originales sont apparues, dont la plupart sont dans la catégorie eVTOL.
Il s’agit de véhicules électriques à décollage/atterrissage verticaux autonomes ou habités, idéaux pour une utilisation en milieu urbain. En moyenne, ces véhicules peuvent transporter 4 à 5 passagers, tandis que les nouveaux modèles présentés ont une grande autonomie et peuvent effectuer des vols sur des distances de plusieurs centaines de kilomètres. Cela signifie dans ce cas que quelqu’un qui veut regarder les matchs à Paris peut choisir de rester dans la banlieue de la ville et de se déplacer vers le centre ou où il veut en volant simplement et rapidement en taxi.
A cet effet, des tests sont organisés à l’aéroport de Pontoise, situé dans le secteur de Cormeilles-en-Vexin, en banlieue parisienne, à 63 km de la capitale française. « Pontoise est idéale pour être la plate-forme d’essai d’un nouveau type de transport aérien. « Ces tests aborderont une perspective plus large sur l’utilisation de moyens de transport aérien innovants et respectueux de l’environnement, même à basse altitude en dessous de 300 mètres au-dessus du sol, ce qui est une sélection de vols qui n’a pas été explorée à ce jour », a déclaré Augustin de Romanet, conseiller d’Aéroports de Paris, l’agence qui gère les trois grands aéroports internationaux de Paris.
Comme on le sait, une trentaine d’entreprises qui produisent des avions pouvant être utilisés comme taxis aux Jeux olympiques de Paris participeront aux tests. Si le plan fonctionne enfin, les infrastructures nécessaires telles que les stations d’embarquement et de débarquement, les soi-disant vertiports, devront être mises en place à Paris. Bien sûr, cela n’a pas de sens de ne l’utiliser qu’une seule fois, alors si l’on décide d’utiliser les taxis volants à Paris lors des Jeux Olympiques, la capitale de la France sera la première en Europe à proposer ce service à ses habitants et visiteurs.
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