SYRIZA-PS / Plan de réorganisation et de victoire

La stratégie du SYRIZA-PS devrait évoluer dans la logique des accords programmatiques avec des schémas de victoire,

Pour réorganisation des forces du parti dans société, dans le quartier, dans les syndicats et entreprises SYRIZA-PS elle n’est pas mise en alerte en attendant, mais en déclenchant des évolutions. Le Comité central, qui conclut ses travaux aujourd’hui, dimanche, a évoqué la nécessité pour le SYRIZA-PS de renforcer sa présence non seulement au niveau programmatique et sur la scène politique centrale, mais aussi dans l’espace social. Les dirigeants et les membres du parti sont invités à « gérer » les organisations, à impliquer les nouveaux membres dans la planification et à mobiliser les citoyens, les jeunes, les travailleurs, les chômeurs, les petites et moyennes entreprises pour inverser la frustration et l’indignation entourant la politique de le gouvernement Mitsotakis en disponibilité et en pouvoir subversif. Dans ce contexte, à Koumoundourou et dans les organisations du parti à travers la Grèce, ils tournent dans leurs agendas le 9 novembre, jour de grève générale où le gouvernement de la ND s’attend à Pauvreté, crise énergétique et insécurité. Parallèlement, l’une des principales priorités est la préparation du parti aux élections municipales. Alors que les urnes pour les élections locales et régionales se tiennent dans près d’un an aujourd’hui, l’état-major de l’opposition officielle est déterminé à mener ce combat pour la victoire et l’hégémonie. La stratégie du SYRIZA-PS devrait évoluer dans la logique d’accords programmatiques avec des plans de victoire, des élections démocratiques progressistes de gauche créant les conditions du soutien des citoyens progressistes et de gauche, ainsi que du rassemblement dans chaque région. Les éléments centraux du concept programmatique de SYRIZA-PS au niveau local sont la défense de l’espace public, la protection de l’environnement, le soutien et le renforcement des services sociaux, la démocratisation des institutions et le fonctionnement des communautés.

La dissimulation ne passera pas

Bien que la majorité gouvernementale veuille mettre fin au scandale de la surveillance, il est clair que le SYRIZA-PS ne permettra pas que le voile de la dissimulation occulte une question importante de démocratie. « Nous n’épargnerons personne », a déclaré Alexis Tsipras vendredi midi depuis l’hémicycle du Parlement, en l’absence du Premier ministre et du Conseil des ministres, dans un procès inédit pour les annales démocratiques et parlementaires, une séance plénière ouverte qui a été à propos de… …une conclusion secrète. « Si nous nous livrons à violer la fonction démocratique, alors nous sommes également complices du crime », a-t-il dit de manière significative, exhortant toutes les forces démocratiques « à faire leur devoir ». Dans le même temps, il a appelé le Premier ministre à faire passer demain l’abrogation de l’amendement à la Commission anti-corruption et la levée de l’interdiction d’information sur les personnes sous surveillance. Et surtout, en tant que leader politique de l’EYP, d’exiger la levée du secret pour que la vérité éclate devant la Commission Institutions et Transparence. « Notre république ne peut pas et ne veut pas transiger avec vos ténèbres », a souligné le chef de l’opposition officielle, expliquant que l’affaire n’était pas close avec la fin de « l’enquête parodique ». Par ailleurs, une délégation de la commission PEGA du Parlement européen est attendue à Athènes du 2 au 4 novembre pour étudier sur place la question des écoutes téléphoniques, qui devient un problème clé de violation de l’Etat de droit et des libertés pour l’Europe. En effet, l’année prochaine, la session de la commission des institutions et de la transparence sera mise sur écoute, ce que K. Tasoulas a « formé » au mieux de ses capacités car l’opposition le réclamait depuis la mi-septembre, notamment après les révélations sur une tentative d’utilisation de téléphones portables par Christos Spirtzis via le Predator. Dix personnes seront invitées, dont des responsables de la sécurité de l’information de Wind, Vodafone, OTE, mais aussi le président de l’ADAE, le procureur de l’EYP V. Vlachou, le commandant de l’EYP Th. Demiris et G. Gerapetritis.

Nécessité d’une réponse européenne collective et progressiste

« Il n’y a pas d’alternative à la réduction immédiate des inégalités‘ était le message d’Al. Tsipras à l’ouverture du Forum des forces progressistes, qui s’est tenu à Athènes cette année. Comme il l’a souligné, l’Europe a plus que jamais besoin d’une réponse collective et progressiste à l’impasse du néolibéralisme et à la noirceur de l’extrême droite. Se référant à l’invasion russe de l’Ukraine, il a souligné la nécessité d’un mouvement soutenant la fin de l’invasion russe et un retour à la diplomatie en Ukraine. « Lutter pour une Europe avec un rôle international fort qui s’oppose aux plans de guerre du président Poutine, mais qui ne détermine pas non plus son avenir en fonction des intérêts économiques de l’Amérique », a-t-il déclaré, soulignant cela avec l’accord de Prespa du gouvernement SYRIZA et par Zoran Zaef a montré la voie à suivre la paix et le développement commun.

Le débat a réuni des chefs de parti et des personnalités politiques importantes, dont Martina Anderson, représentante du Sinn Féin irlandais en Europe, Heinz Bierbaum, chef du Parti de la gauche européenne, Udo Bullmann, député européen SPD et pr. Présidente de l’Eurogroupe des Socialistes et Démocrates, Yolanda Díaz, ministre du Travail d’Espagne, Mary Lou McDonald, présidente du Sinn Féin, Anna Pic, secrétaire nationale et responsable du secteur européen du Parti socialiste de France, Stefanos Stephanou, secrétaire général de l’AKEL et Aurélie Trouvé, présidente de l’Assemblée de l’Alliance des forces progressistes en France (NUPES), présidée par le coordinateur du Forum Pierre Laurent.

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La démocratie en danger – la justice partout

Le Comité préfectoral d’Athènes 1 de l’Alliance SYRIZA-Progressive organise une discussion événement le lundi 24 octobre à 19h00 dans la salle des événements du Musée de la résistance démocratique anti-dictature (anciennement EAT-ESA) à Freedom Park. sur le thème « La démocratie en danger – La justice partout ».

Les députés d’Athènes 1, SYRIZA-PS, prendront la parole. et les membres de la commission d’enquête parlementaire sur le scandale des écoutes téléphoniques Nikos Voutsis, Dimitris Tzanakopoulos, Nikos Filis.

Aglaë Salomon

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