Selon Nutriscore « Hektik » et pour le label alimentaire écologique Écoscore – Face aux réactions et plaintes en France

L’histoire se répète : les aventures du Nutriscore semblent être suivies par l’écolabel français eco-score – selon l’organisme européen Ifoam Europe biole label Eco-Score proposé par le gouvernement français trompe les consommateurs.

Le Note écologiqueest un label alimentaire relativement nouveau développé en France comme Nutriscore, informant les consommateurs à ce sujet Empreinte écologique des aliments. Il divise les aliments en cinq catégories : de A (vert, le choix à privilégier) à E (rouge, le choix à éviter). La méthode de calcul de l’Eco-Score se compose de deux éléments : l’analyse du cycle de vie d’un produit d’une part et un système supplémentaire Bonus-Malus de l’autre.

En France, la notation ecoscore a été mise en place en janvier 2021 dans le but de donner aux consommateurs une information directe sur l’impact environnemental d’un produit et ainsi les aider à consommer plus durablement. La méthode de calcul Eco-Score a été développée par un groupe de 8 acteurs indépendants en France : ECO2 Initiative, Etiquettetable, FoodChéri, Marmiton, Open Food Facts, ScanUp, Seasonon et Yuka. Les chaînes qui ont introduit l’éco-label incluent Carrefour de France, kau; vw kai ta Lidl, Belgique.

Mais tout comme le label de valeur nutritionnelle Nutriscore, le label Ecosxore suscite également la polémique. L’organisation qui promeut la durabilité dans l’agriculture européenne, Ifoam Organics Europe* avec sa filiale française ifoam extension Organics Europe, les demandes de Le label « Eco » sera retiré des produits qui ne respectent pas les règles de durabilité.
L’organisation poursuivi un groupe d’entreprises français et l’Agence parisienne de la transition écologique pour celui-ci utilise le label bio sur les produits incompatibles, provoquant la confusion chez les consommateurs. Selon le procès, les consommateurs associent le mot éco à la production écologique, deux situations relativement sans rapport.
Parallèlement, une action en justice a été déposée contre l’ADEME, la société YUCA, propriétaire de l’application YUKA, la société ECO2 INITIATIVE, exploitante de la plateforme ETIQUETTABLE, et le syndicat OPEN FOOD FACTS as le gestionnaire de la plateforme du même nom .

Ifoam explose le fait que le système de notation écoscorene considère en réalité que l’empreinte carbone des produits, même si c’est le cas pour les mêmes produits ils répandent des poisons. Selon l’organisme, le label « Eco-Score » proposé par le gouvernement français « favorise la production intensive et conventionnelle, malgré la conversion des systèmes de production à des procédés respectueux de l’environnement et de la biodiversité ». Parallèlement, et toujours en accord avec IFoam, les diminutifs « bio » et « bio » sont destinés exclusivement aux produits issus de la production biologique (Règlement européen 2018/848 de 2018). L’utilisation du terme « eco » viole le droit européen.

Cependant, les défenseurs de l’écolabel disent que le contrecoup vient de ceux qui se sentent «menacés» par la méthodologie Öko-Score, alors qu’il n’a pas été précisé si Ifoam approuve l’écolabel également français Planet-Score, étiqueté comme le respect rival pour l’éco-score et est également soutenue par de nombreux collectifs comme l’UFC-Que Choisir, France Nature Environnement, Agir pour l’Environnement, Générations Futures, ainsi que de nombreux instituts et syndicats bio.

Poursuivant ses prétentions, Ifoam est également intervenu devant le tribunal des brevets français pour faire respecter Annulation de la marque « Eco-Score » pour deux raisons principales : éviter la confusion entre produits bio et non bio et éviter d’induire les consommateurs en erreur.

« Il est plus important que jamais de mieux éduquer les consommateurs sur la valeur environnementale de leurs choix alimentaires. Cependant, cela doit se faire dans le respect de la législation européenne sur l’agriculture biologique dans les termes utilisés et sur la base de méthodes qui prennent en compte toutes les externalités liées aux différents modes de production agricole, notamment en matière de biodiversité », explique Jan Plagge Président d’IFOAM Organics Europe selon EFAnews.

« Les termes qui ne sont autorisés que dans les aliments biologiques selon le règlement de l’UE ne doivent pas être utilisés à d’autres fins et certainement pas pour des aliments non respectueux de l’environnement, comme c’est actuellement le cas avec l’Eco-Score », commente Jacques Caplat, président de la Fédération française des membres de l’IFOAM.

Il convient de noter que la proposition de l’UE pour les entreprises utilisant des labels tels que « biologique » sur les aliments doit être présentée d’ici la fin du mois de mars.

*IFOAM Biologique Europe est l' »organisation faîtière » européenne pour l’alimentation et l’agriculture biologiques. Ils soutiennent l’introduction de systèmes écologiquement, socialement et économiquement sains basés sur les quatre principes de l’agriculture biologique – santé, écologie, justice et bienveillance.

Avec plus de 200 organisations membres, le travail d’IFOAM Organics Europe couvre l’ensemble de la chaîne alimentaire biologique et au-delà : des agriculteurs et transformateurs, détaillants, certificateurs, consultants, commerçants et chercheurs aux défenseurs de l’environnement et des consommateurs.

Onfroi Severin

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