Les partis reprennent des positions de combat et le pays se dirige rapidement vers un nouveau tour de scrutin le 25 juin après les ordres d’investigation infructueux et sur fond de victoire triomphale de Kyriakos Mitsotakis et de la ND le 21 mai.
À ce stade, les dirigeants politiques arrivent au palais présidentiel pour rencontrer le Premier ministre Katerina Sakellaropoulou, qui nommera le gouvernement intérimaire après l’échec des commandes exploratoires au cours des dernières 24 heures.
D’abord Alexis Tsipras, suivi de Kyriakos Velopoulos puis de Nikos Androulakis. A 11 heures précises sur le seuil du Palais présidentiel Kyriakos Mitsotakis et enfin Dimitris Koutsoubas.
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A 11h02, la présidente de la République, Katerina Sakellaropoulou, est également entrée dans la salle.
Pas à pas vers la nouvelle urne
Les étapes à suivre à compter de ce matin sont les suivantes :
– A 11 heures, Katerina Sakellaropoulou convoque au Palais présidentiel tous les leaders politiques des cinq partis qui sont entrés au Parlement à l’issue du processus électoral de dimanche dernier.
-S’il est confirmé qu’il est impossible de former un gouvernement jouissant de la confiance du Parlement, Mme Sakellaropoulou demandera la formation d’un gouvernement intérimaire avec l’acceptation la plus large possible afin d’organiser de nouvelles élections.
– Dans ce contexte, le Premier ministre intérimaire prêtera serment jeudi et le gouvernement intérimaire un jour plus tard.
-Le nouveau Parlement prêtera serment dimanche prochain.
– Lundi prochain les élections présidentielles auront lieu et le même jour le parlement sera dissous et le décret présidentiel annonçant les élections sera scellé.
Il est à noter que lundi prochain à 10h30, les députés éliront le président du Parlement, les vice-présidents et les secrétaires. Le Président du Parlement est élu nominativement et à la majorité absolue du nombre total de députés. Si personne n’obtient la majorité absolue, le vote entre les deux premiers votes est répété et celui qui a obtenu le plus de voix est élu.
Dans le cas de nouvelles élections au niveau national, toutes les procédures pertinentes telles que le dépôt des programmes, les symboles des partis, les combinaisons avec les noms des candidats à la Cour suprême et la décision du plénum de sa première chambre sur le droit ou non de participer à élections sont nécessaires dès le début répété.
Pas de « croix »
Il faut souligner que lors de ces élections l’électeur n’a pas la possibilité de faire une « croix », c’est pourquoi il n’y a pas de stylo sur les écrans.
Les bureaux de vote ouvriront et fermeront selon le système de la proportionnalité renforcée inscrit dans la loi de la précédente législature.
Rappelons que dans le cadre du système actuel de proportionnalité renforcée, le premier parti a besoin de 37,5% des suffrages pour accéder à l’indépendance.
Le Premier ministre par intérim et les noms qui « jouent » pour les ministères.
Après Selon les informations, Mme Sakellaropoulou devrait nommer Premier ministre par intérim lui Président de la Cour des comptes Jean Sharma.
OuiL’ambassadeur SE Vassilis Kaskarelis devrait être nommé ministre persan des Affaires étrangères. Pour le ministère de la Défense, SE l’ambassadeur SE Pavlos Apostolidis et SE l’ambassadeur Dimitris Paraskevopoulos sont nommés.
Le ministère de la Santé devrait nommer la professeure de pneumologie et de médecine de soins intensifs de l’EKPA, Anastasia Kottanidou, au poste de ministre.
Qui est Ioannis Sharmas ?
L’actuel président de la Cour des comptes a débuté sa carrière dans la magistrature au Conseil d’État, où il a participé en 1986 aux concours de sélection des huissiers de justice du Conseil d’État et de l’École nationale d’administration publique, obtenant les meilleures notes dans les deux sens parmi les candidats.
Ioannis Sarmas a été juge au Conseil d’État de 1987 à 1993 puis membre de la Cour des comptes, dont il est président depuis 2019.
Ioannis Sarmas est né à Kos en 1957 et est père de deux enfants. Il a commencé ses études à la Faculté de droit de l’Université d’Athènes et a obtenu son diplôme avec mention.
Le prochain « cycle » de sa vie le trouve en France, où, avec des bourses du gouvernement français et de la Fondation des bourses d’État, il complète ses études supérieures à l’Université de Paris II en droit pénal (1980-1981) et en droit public. (1982 -1983) et Finances publiques (1983-1985).
Il poursuit ses études en France, obtient un doctorat et retourne en Grèce pour effectuer son service militaire dans l’armée de l’air en tant qu’élève-officier. Il s’est éloigné du Conseil de l’Europe, où il a fait ses premiers pas, et de la Cour des comptes, où il a atteint le poste de président le plus élevé. Il a été membre de la Cour des comptes européenne et a également enseigné à l’École nationale d’administration publique de la Cour des comptes et à l’École nationale de la magistrature.
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