Les développements pour Qatar Gate se poursuivent alors que le Qatar semble s’être étendu à toutes les capitales européennes. Libération révèle dans son article que Doha entretient des liens suspects avec la France.
Selon le rapport, la France apparaît comme la porte d’entrée de Doha pour le lobbying en faveur du Qatar. En effet, l’un des contrats a été signé en 2017 et faisait référence à la mise en place d' »agences d’influence ».
« Des personnalités publiques, des communicants, des lobbyistes… Beaucoup ont succombé à la réputation de corruption… et ont même reçu des valises pleines d’argent liquide », indique l’enquête du journal français.
acteur principal
Le journal français rapporte qu’Alexander Menvedentovsky est le principal protagoniste du lobbying au Qatar. L’homme de 63 ans est un ancien conseiller d’Etat, mais aussi un ancien membre du Parti socialiste.
La première partie de l’accord, signé en 2017, était une tentative de lever le blocus imposé par d’autres pays du Golfe quelques semaines plus tôt. Le bureau des communications du gouvernement du Qatar a appelé à des mesures pour mettre fin à l’isolement international.
Le mix d’actions consistait à transformer l’Assemblée nationale française à travers les élections présidentielles et législatives de 2017, à mobiliser les acteurs clés du secteur financier liés aux actionnaires qatariens et à sensibiliser la communauté musulmane en France et en Europe. .
Le véhicule principal est le Paris Saint-Germain
Le Paris Saint-Germain était la tentative des Qataris de gagner à la fois en popularité et en influence à l’échelle paneuropéenne. Le club de football est devenu gigantesque ces derniers temps et distribue de l’argent sans ménagement.
Si l’on considère que Qatar Sports Investments, dirigé par Nasser Al Khelaifi, a pris les rênes de Paris depuis 2011, force est de constater que la France est désormais devenue l’un des principaux centres d’influence mondiaux du Qatar.
En fait, Paris faisait partie de l’accord de lobbying signé en 2017 sur la plateforme « Twitter troll farm », qui est utilisée pour diffamer les médias, les fans et même certains joueurs du club.
La porte du Qatar à Paris
Les informations du journal ont souligné la relation particulière que Doha entretient avec Paris – même depuis la présidence de Nicolas Sarkozy – dans des domaines tels que la sécurité, l’énergie et la culture.
Ce n’est pas un hasard si le gouvernement français s’est heurté à l’opposition de l’Assemblée nationale aux règles du lobbying en France. A cet égard, un député socialiste a vivement critiqué le lobbying qui, selon lui, laissait la place à la corruption étrangère en France.
Les allégations de corruption au Parlement européen n’ont jusqu’à présent pas touché les députés français, mais certains d’entre eux, dont Manon Aubry et Leila Chaibi de la faction de gauche, ont déclaré avoir été approchés par l’État du Golfe mais ont refusé d’intervenir.
Articles pertinents
Les développements pour Qatar Gate se poursuivent alors que le Qatar semble s’être étendu à toutes les capitales européennes. Libération révèle dans son article que Doha entretient des liens suspects avec la France.
Selon le rapport, la France apparaît comme la porte d’entrée de Doha pour le lobbying en faveur du Qatar. En effet, l’un des contrats a été signé en 2017 et faisait référence à la mise en place d' »agences d’influence ».
« Des personnalités publiques, des communicants, des lobbyistes… Beaucoup ont succombé à la réputation de corruption… et ont même reçu des valises pleines d’argent liquide », indique l’enquête du journal français.
acteur principal
Le journal français rapporte qu’Alexander Menvedentovsky est le principal protagoniste du lobbying au Qatar. L’homme de 63 ans est un ancien conseiller d’Etat, mais aussi un ancien membre du Parti socialiste.
La première partie de l’accord, signé en 2017, était une tentative de lever le blocus imposé par d’autres pays du Golfe quelques semaines plus tôt. Le bureau des communications du gouvernement du Qatar a appelé à des mesures pour mettre fin à l’isolement international.
Le mix d’actions consistait à transformer l’Assemblée nationale française à travers les élections présidentielles et législatives de 2017, à mobiliser les acteurs clés du secteur financier liés aux actionnaires qatariens et à sensibiliser la communauté musulmane en France et en Europe. .
Le véhicule principal est le Paris Saint-Germain
Le Paris Saint-Germain était la tentative des Qataris de gagner à la fois en popularité et en influence à l’échelle paneuropéenne. Le club de football est devenu gigantesque ces derniers temps et distribue de l’argent sans ménagement.
Si l’on considère que Qatar Sports Investments, dirigé par Nasser Al Khelaifi, a pris les rênes de Paris depuis 2011, force est de constater que la France est désormais devenue l’un des principaux centres d’influence mondiaux du Qatar.
En fait, Paris faisait partie de l’accord de lobbying signé en 2017 sur la plateforme « Twitter troll farm », qui est utilisée pour diffamer les médias, les fans et même certains joueurs du club.
La porte du Qatar à Paris
Les informations du journal ont souligné la relation particulière que Doha entretient avec Paris – même depuis la présidence de Nicolas Sarkozy – dans des domaines tels que la sécurité, l’énergie et la culture.
Ce n’est pas un hasard si le gouvernement français s’est heurté à l’opposition de l’Assemblée nationale aux règles du lobbying en France. A cet égard, un député socialiste a vivement critiqué le lobbying qui, selon lui, laissait la place à la corruption étrangère en France.
Les allégations de corruption au Parlement européen n’ont jusqu’à présent pas touché les députés français, mais certains d’entre eux, dont Manon Aubry et Leila Chaibi de la faction de gauche, ont déclaré avoir été approchés par l’État du Golfe mais ont refusé d’intervenir.
« Passionné de Twitter. Érudit du bacon. Ninja du café. Évangéliste du Web subtilement charmant. Introverti.