Au moins sept États ont immédiatement promulgué l’interdiction
Washington reste attaché aux « droits à la santé reproductive ». dans le monde malgré la décision historique de la Cour suprême du pays révoquant ce droit aux États-Unis, a déclaré hier, vendredi, Le secrétaire d’État américain Anthony Blinken.
Le département d’État « restera pleinement engagé à accroître l’accès aux services de santé reproductive et à promouvoir les droits à la santé reproductive dans le monde », a déclaré Blinken dans un communiqué.
Le secrétaire d’Etat américain a également assuré que ses services « feront tout leur possible » pour que tous les employés du département d’Etat américain aient accès aux services de santé reproductive « là où ils vivent ».
« Nous ne renoncerons pas à cet engagement », a-t-il déclaré.
Hier, la très conservatrice Cour suprême américaine a enterré le droit à l’avortement, a renversé l’arrêt emblématique Raw v Wade de 1973 sur l’avortement volontaire, et a redonné à chaque État le pouvoir de choisir d’autoriser ou non l’avortement.
Au moins sept États ont promulgué l’interdiction hier.
Les dirigeants des alliés des États-Unis tels que le Canada, la Grande-Bretagne et la France ont exprimé leurs regrets face au contrecoup de cette décision, qui place les États-Unis à contre-courant de la grande majorité des pays, en particulier des pays développés.
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