« Je suis plus que fier. (…) il est très difficile de créer des emplois sans entreprises et sans entrepreneurs », a-t-il dit avec ironie Emmanuel Macron Répondre aux questions que lui ont posées les journalistes à la suite des publications du Guardian et du Monde d’hier, qui l’ont impliqué dans des transactions secrètes Au dessuslors de sa visite dans les locaux de la société à Grenoble.
« Nous créons une sorte d’atmosphère où les gens d’affaires, surtout les étrangers, sont mauvais. J’assume pleinement (responsabilité) et vous regarde dans les yeux ! J’ai rencontré des entrepreneurs ! Comme c’est terrible! Je les ai vus, toujours formellement en présence de partenaires. Je suis fier. Ils ont créé des emplois en France. J’en suis fier. Et savez-vous quelque chose? Je le ferais demain et après-demain », a-t-il déclaré.
Lorsque des journalistes l’ont pressé de commenter les révélations sur son implication directe dans la création d’Uber en France, le président français a répondu de manière cinglante :
« Comme dirait un ancien président, ils me touchent l’un sans bouger l’autre », a déclaré Macron, faisant référence aux… testicules et à une phrase célèbre que Jacques Chirac a prononcée lorsqu’il en a été accusé. Bref, peu importe.
Réponse de Paris : Thomas Papaioannou
💬 « J’en suis fier, je le referai demain et après-tomain »
A propos des dossiers : Emmanuel Macron prend le relais, passe et signe ⤵️ pic.twitter.com/cwl0wMKtWo
— BFMTV (@BFMTV) 12 juillet 2022
Une histoire troublée
ta petite histoire Au dessus en Grèce, il est assez perturbé. La compagnie américaine basée à San Francisco s’est produite à Athènes en 2014.
À l’origine, il offrait le service à propos de TAXI et coopéré avec des chauffeurs professionnels, exclusivement à Athènes. Les points forts de l’entreprise résidaient dans la réduction du temps d’attente, le suivi de l’itinéraire sur la carte et la recherche de l’itinéraire le plus court. Elle a également été la première entreprise à introduire les paiements par carte, qui se sont avérés extrêmement utiles à l’ère du contrôle des capitaux.
Les choses ont pris une autre tournure lorsque le service UberX a été lancé en septembre 2015 en effet, il permettait aux chauffeurs non professionnels qui n’étaient pas titulaires d’une licence professionnelle et ne payaient aucun prélèvement légal à l’État d’effectuer des travaux de transport. Selon la loi 4093/2012 sur laquelle se base Uber, les chauffeurs sont des employés d’entreprises autorisées par l’EOT (sociétés de location de véhicules et agences de voyages) pour la location de voitures. passagers.
La réaction des chauffeurs de taxi a été forte dans plusieurs villes européennes, dont Paris, Berlin et Athènes. Ce L’Attica Taxi Drivers Union a même exhorté les chauffeurs à ne pas rejoindre le service Uber.
Après la promulgation de la loi la plus stricte sur les transports en 2018, créant un cadre de fonctionnement presque étouffant pour les entreprises intermédiaires de transport en Grèce, le Uber a interrompu le service UberX et n’a conservé que le service UberTaxi.
L’affaire Uber en Grèce a été très souvent un sujet de conflit entre le gouvernement de l’époque SYRIZA et le SW.
La question est revenue sur le devant de la scène après la révélation par le Guardian et le Monde, lorsque SYRIZA a fustigé le ND pour avoir offert son soutien en tant qu’opposition officielle à l’entreprise.
« La vérité est révélée chaque jour, pour chaque cas dans lequel M. Mitsotakis, les dirigeants de la ND et leurs compagnons de voyage nous ont calomniés, calomniés, ciblés et mal informés le peuple grec », a commenté l’ancien ministre de l’Infrastructure et de la Circulation. Christos Spritzis.
Avec les informations de taxianddriver, kathimerini.gr, BFMTV
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