H Marguerite Vestagervice-président de la Commission européenne avec une fonction préparatoire, de sorte que « h L’Europe être prêt pour elle Numérique Temps« A dit aujourd’hui que l’UE est possible Pour atteindre UN politique accord en 2024, ouvrant la voie au premier accord mondial substantiel artificiellement intelligence (voir Intelligence Artificielle).
Cette évolution sera suivie d’une provisoirement accord ce qui a été réalisé sur Jeudi sur la législation de l’UE en matière d’IA.
Dans une interview, il a admis Reuter en marge d’une conférence des ministres du numérique des pays membres du G7 à Takasaki au Japon, Vestager recommander législatif mètre pour le Utilisation de tous les outils d’IAcomme « le registre d’engagement de toutes les images générées par l’intelligence artificielle ».
« Il n’y a aucune raison d’hésiter jusqu’à ce que la législation soit adoptée, concernant l’accélération des discussions nécessaires pour définir les changements dans tous les systèmes fortement influencés par l’IA », a-t-elle ajouté lorsqu’elle a été interrogée sur les étapes nécessaires avant qu’un accord puisse être mis en œuvre.
H Groupe G7 des pays économiquement avancés devraient adopter une régulation sur l’intelligence artificielle « sur la base des risques potentiels », comme en ont convenu aujourd’hui les ministres chargés du numérique dans les États membres.
tour à tour le Européens corps législatif Dépêchez-vous d’en saisir un législation Héd’imposer Règles à l’évolution des outils d’IA comme ChatGPT.
Cependant, une telle législation devrait « maintenir un environnement ouvert et viable » pour le développement des technologies d’intelligence artificielle, mais aussi être basée sur des valeurs démocratiques », ont déclaré les ministres du G7 dans un communiqué conjoint publié à l’issue d’une conférence de deux jours au Japon.
Cependant, les ministres ont reconnu que « les outils politiques pour parvenir à une vision et un objectif communs pour des applications d’IA fiables sont susceptibles de différer entre les pays membres du G7 ».
D’autre part, accord forme un Indiquer référence pour la façon dont pays économiquement développés gérera l’intelligence artificielle en fonction des préoccupations conservation depuis personnel Donnéesmais aussi pour eux Sécurité.
« Mettre en pause (le développement de l’IA) n’est pas la bonne réponse. L’innovation doit évoluer en interne particulier limites il faut construire des démocraties », a déclaré à Reuters le ministre français de la transformation numérique Jean Noël Barotet ajoute que dans le cadre de la prochaine législation européenne, la France fera quelques exceptions pour les petites entreprises développant l’intelligence artificielle.
Derrière eux Problème concernant la possibilité de vol de droits d’auteur, les pays membres du G7 ont reconnu les risques de sécurité. « La reproduction de l’IA (…) produit de fausses nouvelles et des solutions qui perturbent la société au cas où la base de données serait erronée », a déclaré le ministre japonais de la technologie numérique. Taro Kono lors d’une conférence de presse après avoir trouvé un accord.
LE Japon A accueilli fin mai une conférence du G7 au cours de laquelle le premier ministre Fumio Kishida discutera des règles de l’IA avec les autres dirigeants.
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Cette évolution sera suivie d’une provisoirement accord ce qui a été réalisé sur Jeudi sur la législation de l’UE en matière d’IA.
Dans une interview, il a admis Reuter en marge d’une conférence des ministres du numérique des pays membres du G7 à Takasaki au Japon, Vestager recommander législatif mètre pour le Utilisation de tous les outils d’IAcomme « le registre d’engagement de toutes les images générées par l’intelligence artificielle ».
« Il n’y a aucune raison d’hésiter jusqu’à ce que la législation soit adoptée, concernant l’accélération des discussions nécessaires pour définir les changements dans tous les systèmes fortement influencés par l’IA », a-t-elle ajouté lorsqu’elle a été interrogée sur les étapes nécessaires avant qu’un accord puisse être mis en œuvre.
H Groupe G7 des pays économiquement avancés devraient adopter une régulation sur l’intelligence artificielle « sur la base des risques potentiels », comme en ont convenu aujourd’hui les ministres chargés du numérique dans les États membres.
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Cependant, une telle législation devrait maintenir « un environnement ouvert et viable » pour le développement des technologies d’intelligence artificielle, mais aussi être basée sur des valeurs démocratiques », ont déclaré les ministres du G7 dans un communiqué conjoint publié à l’issue d’une conférence de deux jours au Japon.
Cependant, les ministres ont reconnu que « les outils politiques pour parvenir à une vision et un objectif communs pour des applications d’IA fiables sont susceptibles de différer entre les pays membres du G7 ».
D’autre part, accord forme un Indiquer référence pour la façon dont pays économiquement développés gérera l’intelligence artificielle en fonction des préoccupations conservation depuis personnel Donnéesmais aussi pour eux Sécurité.
« Abandonner (le développement de l’IA) n’est pas la bonne réponse. L’innovation doit évoluer en interne particulier limites il faut construire des démocraties », a déclaré à Reuters le ministre français de la transformation numérique Jean Noël Barotet ajoute que la France fera quelques exceptions pour les petites entreprises développant l’intelligence artificielle dans le cadre de la prochaine législation européenne.
Derrière eux Problème concernant la possibilité de vol de droits d’auteur, les pays membres du G7 ont reconnu les risques de sécurité. « La reproduction de l’IA (…) produit de fausses nouvelles et des solutions qui perturbent la société au cas où la base de données serait erronée », a déclaré le ministre japonais de la technologie numérique. Taro Kono lors d’une conférence de presse après avoir trouvé un accord.
LE Japon A accueilli fin mai une conférence du G7 au cours de laquelle le premier ministre Fumio Kishida discutera des règles de l’IA avec les autres dirigeants.
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