Le ministère de la Santé a trouvé une solution aux lacunes du Service national de santé. Dans le cadre du projet de loi à l’étude, un travail à temps partiel est envisagé pour les médecins privés qui travailleront dans le système, et un travail privé pour les médecins du NHS.
Et prêtre et couple, c’est-à-dire pour rappeler Kolokotronis, à qui l’on attribue l’expression « Ou papas papas ou zeugas zeugas ».
Vraiment, quel pathologiste privé fermera son cabinet trois matins par semaine pour rejoindre le NHS à départ rapide ?
Ou quel médecin du personnel du NHS, sauf le minimum, parvient aujourd’hui avec 6,7 voire 8 appels par mois à avoir une clinique l’après-midi deux fois par semaine pour obtenir le droit de voir les patients en privé ?
A l’heure où ils doublent les salaires des anesthésistes en France et en Roumanie et s’inquiètent d’un potentiel conflit d’intérêts au Royaume-Uni pour ceux qui travaillent à la fois dans le NHS (British NHS) et le secteur privé, voici le modèle dépassé d’Art from IKA revient.
Nous ne sommes pas seuls face à l’efficacité douteuse de tels accords. Pendant la pandémie, très peu de particuliers se sont portés volontaires pour offrir des services au Service national de santé, même si les salaires étaient extrêmement bas.
Pas même dans la distorsion de concurrence au détriment des médecins qui optent consciemment pour le secteur privé. Ce sont aussi des « libéraux », horreur d’eux !
Le problème qui existe et qui ne fera que s’aggraver est l’augmentation des dépenses des ménages dans les services de santé privés. Rien qu’au cours des deux années de la pandémie, les dépenses en soins hospitaliers privés ont augmenté de 17 %.
Au lieu d’accepter un salaire compétitif en versant des salaires plus élevés aux spécialités manquantes, ils mènent des expériences idéologiques dangereuses au sein du ministère de la Santé.
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