Quand le 9 juin, deux heures avant l’annonce de l’échec des élections européennes, le président français Emmanuel Macron Lorsqu’il a convoqué une réunion d’urgence au palais Ilysée, personne n’aurait pu imaginer comment les développements politiques dans le pays se dérouleraient un mois plus tard.
Les élections législatives en France resteront dans l’histoire le 5son de la République française pour plusieurs raisons, mais surtout à cause de la manière dont les forces démocratiques – à savoir les citoyens – ont renversé un résultat que tout le monde considérait comme un fait accompli.
Plus de trois jours après la fin du second tour et la victoire de la gauche, il n’y a pas d’évolution significative sur la question Formation d’un gouvernement dans le pays et il semble peu probable qu’une telle situation se produise bientôt.
D’un côté, la gauche, dont les partis de coalition ont enregistré la plus grande part de sièges, ne semble pas avoir trouvé le nombre d’or ni le candidat à nommer pour le poste de Premier ministre, et de l’autre, la faction des Français Le président et lui-même ne semblent pas pressés.
Après le retour de Macron des USA, les évolutions s’accélèrent
La France est pour l’essentiel d’accord avec la composition gouvernementale de la majorité gouvernementale sortante et le Palais des Ilyssiens déclare officiellement que les développements « se dérouleront » avec le retour de Macron des États-Unis et de la conférence de l’OTAN, tandis qu’officieusement, des fuites indiquent que ce n’est pas le cas aujourd’hui. réussi à diriger le nouveau gouvernement.
Les médias français rapportent que cette fois, Macron aurait organisé quelque chose de beaucoup plus compliqué qu’il n’y paraît. Certains analystes soulignent de plus en plus avec insistance qu’Emmanuel Macron pourrait aujourd’hui mettre en œuvre un plan dont lui-même, et bien sûr ses ambitions, sortiront avec un double succès.
Selon des informations parues dans la presse française, Macron semble avoir réalisé depuis un certain temps que sa politique et lui-même sont extrêmement désagréables pour la majeure partie de la société française.
Macron a accepté la réalité et semble avoir depuis longtemps posé les bases de ce qui se passe aujourd’hui.
D’une part, il a assumé ses responsabilités à plusieurs reprises – ainsi que les discours au peuple français – et d’autre part, il a prévu de dissoudre l’Assemblée nationale pour que son parti ne perde pas davantage de popularité.
Lui-même a rassemblé le feu de tous et a envoyé un message aux Français pour qu’ils votent contre lui, mais pas à la République.
Le message a été brillamment exprimé et semble être clairement parvenu aux oreilles des Français.
Macron convaincu des « instincts démocratiques des Français »
Au premier tour, ils l’ont littéralement « occulté », tandis qu’au second tour, ils ont été contraints de suivre leurs instincts démocratiques et ont « noirci » le parti de Le Pen Barnetla.
De cette démarche et de l’accord avec le Nouveau Front Populaire, seul Macron est sorti vainqueur. Oui, la gauche a gagné, mais le président du pays, qui a exercé sept mandats, a remporté presque deux fois plus de sièges que ce que les sondages avaient prédit le 30 juin.
Aujourd’hui, Macron n’a pas nommé de Premier ministre issu de la coalition qui a remporté le plus de sièges et qui met l’extrême droite dans une impasse.
Macron a encore gagné en perdant… Ce qui précède peut être une indication de « maîtrise » politique, mais il sera très difficile pour le président français de poursuivre les « retards », car on suppose que le nouveau Front populaire le fera. Tôt ou tard, il arrivera que Macron ne puisse pas élire une personne à qui il ne pourra refuser la prestation de serment comme Premier ministre et à qui il pourra donner les clés de Matignon.
Mais d’ici là, il semble avoir de nouvelles armes concrètes dans son carquois.
Aujourd’hui, d’un côté, il tente de dissoudre la coalition du Front populaire, en emmenant avec lui les socialistes qui ont clairement indiqué qu’ils ne voulaient pas gouverner avec Mélenchon, et de l’autre, il se rapproche du parti traditionnel. La droite française (les Républicains) s’efforce elle-même désormais de les éliminer pour intégrer sa propre aile.
Quel que soit le scénario qui « marche », Macron et son groupe seront automatiquement la première force de la nouvelle Assemblée nationale en termes absolus.
Si cela se produit, le président français aura l’occasion de proposer une coopération à gauche – pour la France uniquement – qu’il rejette, puis de reformer un gouvernement selon ses propres idées.
Tout cela entraînera évidemment des bouleversements sociaux et politiques majeurs, mais Emmanuel Macron ne semble pas avoir peur de se retrouver à nouveau dans cette situation.
Il est cependant peu probable que les résultats politiques d’une telle démarche ne donnent pas une fois de plus un énorme coup de pouce à l’extrême droite, qui apparaîtra comme la seule solution politique « inédite » et fatalement « solvable »…
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