L’équipe nationale féminine de polo quitte Fukuoka à la recherche d’un trésor « caché »

L’équipe nationale féminine de water-polo commence sa quête aux Championnats du monde à Fukuoka avec sa première tentative de qualification pour les Jeux olympiques de Paris.

LE Équipe nationale féminine de water-polo commence à Fukuoka et le 20e championnats du monde de natation leur voyage avec l’ambition d’atteindre une destination finale 12 mois Le Paris et les Jeux Olympiques.

Douze ans après le triomphe et la médaille d’or à Shanghai, la seule médaille remportée par l’équipe nationale féminine dans l’histoire de l’événement, le groupe représentatif dans la ville du Japon est avec optimisme pour poursuivre et atteindre le grand objectif désormais, le Qualification olympique.
Un but dont parlait la sélectionneuse nationale Alexia Kammenou dans la Gazzetta à la veille du déplacement au Japon.

Si l’équipe nationale se qualifie immédiatement pour les Jeux Olympiques, elle a automatiquement obtenu au moins la médaille d’argent aux Championnats du monde de Fukuoka, puisque les deux premières équipes assureront désormais la qualification pour « Paris 2024 ».

Sinon il assurera aussi le grand rêve un billet qu’y a-t-il championnat d’europe à Netanya en janvier ou à la dernière occasion avec le deux postes que ce passe t-il après Championnat du monde en février à Doha.

L’équipe nationale est représentée à Fukuoka depuis août dernier à Split en tant que vice-championne européenne et se compose de 15 joueurs, car jusqu’à deux remplacements sont possibles par match. Quelque chose qui a été mis en œuvre pour la première fois aux Championnats d’Europe à Split l’année dernière.

Dans sa composition, il y a aussi deux retours importants, h Chrysi Diamantopoulou et le Nicole Elefthériadou Pour diverses raisons, elles n’ont pas participé aux championnats du monde à Budapest et aux championnats d’Europe à Split l’année dernière, mais sont désormais disponibles pour Alexia Kammenou.

Le système comportemental

Il y a un grand changement dans la ligue, car il n’y a plus de match nul non plus dans la phase de groupes, et le vainqueur n’est déterminé qu’au cours du processus. Autrement dit, le gagnant en jeu régulier obtient trois points, aux pénalités, le gagnant en obtient deux et le perdant en obtient un. À la fin de la phase de groupes, la première équipe de chaque groupe se qualifie directement pour les quarts de finale. Les équipes finissant 2e et 3e s’affronteront dans un match croisé pour se qualifier pour le Huit.

Le parcours de l’équipe nationale

L’équipe nationale a été classée dans le 3e groupe lors du tirage au sort du championnat à Athènes. Là, elle débute son service avec deux matchs théoriquement faciles contre Afrique du Sud (16 juillet, 11h30) Et Argentine (18.7., 07h30) que le Brésil a remplacé avant son aube Jeudi (20 juillet, 04:30) Dans la bataille avec l’Italie pour la première place du groupe et la qualification directe pour les quarts de finale.

Là – s’il n’y a pas de surprises – il y a un carrefour avec le renouvelé Australie, soit avec elle Chine, coaché ​​par Harry Pavlidis. Si l’équipe nationale termine deuxième du groupe, elle jouera un cross-over avec le troisième du groupe D (probablement le Japon ou la Nouvelle-Zélande), mais ensuite un quart de finale avec quoiÉTATS-UNIS.

Les croisements en quarts de finale

A1 avec C2-D3
B1 avec C3-D2
C1 avec A2-B3
D1 avec A3-B2

Sept sur 15 sont aux États-Unis

Avec son organisation, le water-polo féminin a commencé aux Championnats du monde Madrid en 1986. Il s’agit du deuxième tournoi organisé à Fukuoka (l’Italie a remporté la victoire en 2001) et du 16e au total, les États-Unis en remportant près de la moitié.

Ils ont notamment été sacrés sept fois champions du monde depuis 2003, quatre fois de suite (Kazan 2015, Budapest 2017, Guangzhou 2019 et Budapest 2022).

C’est le cas de la Grèce 13e entréeDébutant à Perth en 1998 avec l’entraîneur Tasos Doumbas et terminant 5e, culminant avec la médaille d’or à Shanghai 2011 avec l’entraîneur Giorgos Morfesis, alors que deux ans plus tôt il avait terminé 4e à Rome. LE Antigone Roubesi Elle a disputé huit matchs (2001-2015) et est également la meilleure buteuse de l’équipe nationale dans la compétition avec 82 buts.

Les groupes du tournoi féminin

Groupe A : Chine, France, USA, Australie
Groupe B : Espagne, Israël, Pays-Bas, Kazakhstan
Groupe C : Argentine, Grèce, Italie, Afrique du Sud
Groupe D : Canada, Nouvelle-Zélande, Hongrie, Japon

Calendrier de la phase de groupes

(heure grecque)
1ère journée
dimanche 16 juillet

03:00 États-Unis-Chine
04:30 France-Australie
06:00 Pays-Bas-Espagne
07:30 Israël-Kazakhstan
10:00 Italie-Argentine
11h30 Grèce-Afrique du Sud
13:00 Nouvelle-Zélande-Japon
14h30 Hongrie-Canada

2ème journée
mardi 18 juillet

03:00 Kazakhstan-Pays-Bas
04:30 Espagne-Israël
06:00 Afrique du Sud-Italie
07h30 Argentine-Grèce
10:00 Canada-Nouvelle-Zélande
11h30 Australie-États-Unis
13:00 Japon-Hongrie
14h30 Chine-France

3ème journée
jeudi 20 juillet

03:00 Argentine-Afrique du Sud
04:30 Grèce-Italie
06:00 Nouvelle-Zélande-Hongrie
07h30 Chine-Australie
10h00 France-Etats-Unis
11h30 Espagne-Kazakhstan
13:00 Canada-Japon
14h30 Israël-Pays-Bas

La composition de l’équipe nationale

Chrysi Diamantopoulou
Poste : gardien de but
Âge : 28 ans
Participations internationales : 187
Buts:-
Championnats du monde : 3e
Buts aux championnats du monde : –

Eleftheria Pleuritou
Emplacement : Régional
Âge : 26 ans
Participations internationales : 210
Buts : 303
Championnats du monde : 5e
Buts en Coupe du monde : 43

Ioanna Hydrootis
Emplacement : Régional
Âge : 26 ans
Participations internationales : 121
Buts : 80
Championnats du monde : 3e
Buts en championnats du monde : 10

Nicole Elefthériadou
Emplacement : Régional
Âge : 25 ans
Participations internationales : 124
Buts : 158
Championnats du monde : 2
Buts en Coupe du monde : 12

Marguerite Pleuritou
Poste : défenseur
Âge : 28 ans
Participations internationales : 203
Buts : 123
Championnats du monde : 4e
Buts en championnats du monde : 13

Elena Xénakis
Poste : Futaristo
Âge : 26 ans
Participations internationales : 186
Buts : 316
Championnats du monde : 4e
Buts en Coupe du monde : 41

Irène Nino
Emplacement : Régional
Âge : 21 ans
Participations internationales : 85
Buts : 95
Championnats du monde : 2
Buts en championnats du monde : 11

Elena Elniadis
Poste : défenseur
Âge : 24
Participations internationales : 37
Buts : 26
Championnats du monde : 1
Buts en championnats du monde : 3

Christina Siuti
Poste : défenseur
Âge : 19 ans
Participations internationales : 34
Buts : 22
Championnats du monde : 1
Buts en championnats du monde : 6

Vasiliki Pleuritou
Emplacement : Régional
Âge : 25 ans
Participations internationales : 56
Buts : 75
Championnats du monde : 1
Buts en Coupe du monde : 14

Athéna Yiannopoulou
Emplacement : Régional
Âge : 22 ans
Participations internationales : 35
Buts : 22
Championnats du monde : 1
Buts en Coupe du monde : 4

Maria Myriokephalitaki
Poste : Futaristo
Âge : 22 ans
Participations internationales : 71
Buts : 99
Championnats du monde : 1
Buts en championnats du monde : 10

Ioanna Stamatopoulou
Poste : gardien de but
Âge : 25 ans
Participations internationales : 105
Buts:-
Championnats du monde : 2
Buts aux championnats du monde : –

Cheveux brillants
Emplacement : Régional
Âge : 18 ans
Participations internationales : 33
Buts : 16
Championnat du monde:-
Buts aux championnats du monde : –

« Liberté » par Funtotou
Emplacement : Régional
Âge : 21 ans
Participations internationales : 17
Buts : 19
Championnat du monde:-
Buts aux championnats du monde : –

*Les statistiques ont été obtenues auprès du bureau de presse du KOE.

Sandrine Dumont

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