Le drame du PAOK et l’empreinte de Zarko

Sa qualification pour les playoffs olympique il le devait à la victoire sur les puissants Réel à Faliro : 63-62, avec un avant-dernier buteur UN CUISINIER lui Zarko Pascali. Mais la pièce volante a ouvert la tête de l’arbitre bulgare Ange Ivanov (bien que cet arbitre ait annulé le but quasi-victorieux de Sabonis avec un léger retard…) a initié la sanction des « Rouges-Blancs » indisciplinés.

Bien que l’Olympiacos ait migré à Patras avec Limoges dans le premier des trois quarts de finale, l’Olympiacos a gagné 70-67 avec son tir à trois points « tué ». marques Pascali 4 secondes restantes. « Si les Yougoslaves sont absents, tout est possible », a déclaré l’agresseur, lui-même Yougoslave, dans le vestiaire de Perivola, face au Malkovich yougoslave Et Zdovci.

« N’oublions pas que l’Olympiakos joue avec quatre étrangers », grommela son entraîneur à quelques mètres de là Limoges, Bozidar Malkovic (« Malikovich », lui écrivions-nous à l’époque). Il voulait dire lui Dragan Tarlak et le Tomic de Milan, qui, en vertu de la réglementation, rivalisaient en tant que Grecs (« exogames », pour reprendre la terminologie de l’époque) avec des patronymes empruntés à leurs beaux-pères : « Konstantinides » et… « Giannakopoulos ». Il y avait aussi Franko Nakic mais il était définitivement hors du line-up donc Bosa l’a oublié.

Le pionnier olympique voyager vers limoges Il cherchait une victoire dans un maximum de deux matchs, mais a subi un drame qui est devenu une plaie ouverte et hante toujours ses cauchemars. Yannis Ioannidis. Championne d’Europe à deux reprises jugoplastie Finaliste 1989 et 1990 et Final Four 1991 en tant qu’entraîneur Barcelone maintenant, oh Malkovitch noué un nœud par la tactique « blonde », dans une période de trois jours au cours de laquelle le catenaccio a cassé les compteurs.

Mais le héros de Patras est devenu « om fatal », un Sisyphe blond vêtu de rouge non pas une mais deux fois. Dans le premier des deux derbies inoubliables qui se joueront à l’Ancienne BoblanLe Plusieurs fois a perdu le ballon à 52-51 et a raté un tir lointain juste après son panier Michael yang qui les a amenés Français au +3. Le match s’est terminé 59-53, mais le olympique Il a eu une autre chance mercredi soir à Limoges avec suffisamment de monde à ses côtés.

« En route pour la double qualification en basket et football » était la devise de l’excursion. Le lendemain soir, l’équipe de football du club avait rendez-vous avec l’Atlético de Madrid, mais l’ambitieuse campagne tourna au drame après la mort inexpliquée d’un fan dans un entraîneur, tandis qu’un second fut transporté dans un hôpital de Clermont Ferrand. Les deux entraîneurs sont partis mauvais mauvais limogesavec des flics français en tant que contrôleurs de la circulation qui ont jeté un coup d’œil à l’intérieur et ont décidé qu’ils ne valaient pas la peine de jouer avec.

Sa mission Olympiakou Elle n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait, mais elle vivait son propre drame depuis o Plusieurs fois est entré sur la ligne dès qu’il a reçu le ballon pour le but gagnant. « Surveillez votre pied ! » s’est exclamé un journaliste grec lorsqu’il a vu le Monténégrin regarder vers le haut au lieu de baisser les yeux avec le ballon dans les mains. La botte de Zarco a atterri sur la ligne de touche sans la moindre pression et la déesse dodue a été emballée dans un emballage cadeau aux Français.

Cette fois, monsieur Plusieurs fois il a essayé d’expier avec une défense qui n’était pas son fort. « Je vais le prendre », a-t-il dit à ses coéquipiers. Mais son ami du vieux pays, M. Juré Zdovaca trouvé le moyen de se débarrasser de lui et d’envoyer Limoges dans le dernier carré d’un coup de dragon mais bien placé, 2 secondes d’avance.

Ioannidis est retourné au Pirée les mains vides, contraint de jouer le rôle d’hôte des veules PAOK dans le Stade de la paix Et Amitié. victoire en coupe Saporta de « son » Mars à Turin, aux mêmes jours du martyre français, il multipliait sa misère. « Nous reviendrons plus forts », a-t-il prophétisé. Et il disait la vérité.

Dans le chaos qui s’ensuit, o olympique rencontré le champion de Grèce PAOK à moitié mort par la tyrannie européenne de Faliros et monta sur le trône domestique pour la première fois en 15 ans de sécheresse. LE Panathinaïkos depuis Pavlos Giannakopoulos Plongés tête baissée dans la course aux armements, les réflexes des uns et des autres se sont irrémédiablement mis à rude épreuve et le centre de gravité du basket grec s’est finalement et irrévocablement déplacé de Thessalonique vers le bassin attique.

olympique Et Panathinaïkos Ils se sont affrontés lors des demi-finales européennes de 1994 et 1995 et se sont partagé les deux trophées suivants d’affilée : les « Verts » en 1996 Paris depuis Malkovitch au sommet et les « Reds » en 1997 Romeplus sans lui Ioannidis, qui s’était estompé. Personne ne se doutait alors que la rivalité entre eux apporterait à la Grèce 9 Coupes des Champions…

Sandrine Dumont

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