Les élections du 21 mai ont entraîné un remarquable changement de paradigme dans la politique et la société. Les idées de la Nouvelle Démocratie ont prévalu et nous ont menés sans encombre à la phase de développement et bientôt à la phase d’investissement. Les Grecs ont approuvé la politique de Kyriakos Mitsotakis, courageux mais pas risqué dans ses décisions. Il a adapté les réformes qu’il a menées aux besoins grecs. Reconnaissant les erreurs inévitables en période de gouvernement, il a eu le courage et l’empathie de s’excuser. Il a trouvé un équilibre entre défendre sans relâche la souveraineté nationale et maintenir des voies de communication ouvertes avec la Turquie sur la base des principes du droit international.
De cette façon, les Grecs se sentaient en sécurité et faisaient confiance à notre gouvernement parce qu’ils savaient que nous savions quoi faire. Un exemple en est le «panier du ménage» qui – bien qu’il ait été ridiculisé par l’opposition – a contribué à contenir et à désamorcer les prix dans les supermarchés et les épiceries et est un exemple positif des mesures prises et désormais mises en œuvre par la France et la Belgique seront mises en œuvre par la Grande-Bretagne.
En tout cas, la Grèce est aujourd’hui un meilleur pays que celui que nous avons reçu en 2019. Par conséquent, la grande question dans cette urne est de savoir comment nous allons continuer sur cette voie couronnée de succès. Comment allons-nous avancer de manière constante et audacieuse et avoir un gouvernement solide pour les quatre prochaines années qui mettra en œuvre tout ce que j’ai décrit ci-dessus ?
Par exemple, Nea Dimokratia et Kyriakos Mitsotakis ont prouvé que nous pouvons atteindre la croissance avec des réductions d’impôts et nous avons l’intention de continuer sur cette voie. D’un autre côté, SYRIZA et PASOK sont en désaccord sur qui est le plus grand « collecteur d’impôts ».
Nous avons entendu George Katrougalos admettre que SYRIZA augmentera les impôts sur les cotisations et le PASOK admettre qu’ils augmenteront l’ENFIA et les impôts sur les dividendes et les pensions alimentaires pour enfants. D’un côté ils parlent de « juste fiscalité », de l’autre ils veulent augmenter la fiscalité des biens immobiliers dont les propriétaires ont déjà été imposés plusieurs fois. Ce n’est pas un montage comme ils le prétendent à tort, ni un sardam, mais une véritable répression fiscale. Leur problème est idéologique et ils auront la réponse qu’ils méritent lors des élections du 25 juin. Parce que le récit national de la Nouvelle Démocratie est solide et s’appuie sur les actions de notre période gouvernementale, qui ont été positivement évaluées par les citoyens.
À cet égard, nous faisons du porte-à-porte, de quartier en quartier, délivrant le message de la grande victoire, renforçant davantage l’alliance sociale du 21 mai et parlant de la Grèce indépendante de la prudence, des alliances fortes et du développement.
Nous demandons un vote positif pour poursuivre les réformes, achever la numérisation de l’État, améliorer la santé, la justice, l’éducation, les transports, autonomiser les jeunes et soutenir les personnes vulnérables. En Grèce 2023, il n’y a pas de place pour les remises et les retards.
*Theodoros Karaoglou est un député de la Nouvelle Démocratie dans la 2e circonscription de Thessalonique
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