La chute de la démocratie, dont il y avait déjà les premiers avertissements après son élection 25. Mai, a été menée pendant 25 jours par ses représentants permanents et ses représentants défunts. Ils sont issus de la matrice politique des dignitaires qui, au fil du temps, sapent les conditions les plus idéales de liberté et de progrès garanties par le meilleur gouvernement que le pays ait jamais connu.
LE SYRIZA Et président Ils le torturent à l’occasion du plus grandtragédie navale qui ont sillonné les eaux de la Méditerranée pour prouver que la vulgarité a un nom et que les fossoyeurs ont une faction. Dans l’état du tombeau formé par les tombes des morts, o Alexis Tsipras semble débridée.
Comme un autre Pavlos Polákis Il bascule sans cesse dans le vulgaire avec des émissions de communication révélatrices de son ignorance, mais surtout nuisibles à l’échelle nationale. Avoir des gens de votre côté qui sont blâmés pour cela Enfer de la Moria et leur disgrâce humanitaire Idomeniscréer la Cour internationale de justice et mettre notre pays sur son siège.
M. Tsipras, qui avait cédé aux idéologies et était pris dans l’impasse électorale, n’a été interrompu par aucune mention des trafiquants et de leur rôle organisations non-gouvernementales. Les accusations portées contre le président de SYRIZA étaient centrées sur la Grèce et les garde-côtes.
Ses palinades ne suffisent pas à effacer l’ampleur de la propagande calomnieuse diffusée à grande échelle par l’avant-garde du parti. Enfin, le président de SYRIZA a tiré ses conclusions du crash meurtrier en donnant des cours de compétences opérationnelles à ses cadres Garde côtière helléniques, mais aussi à un officier très expérimenté aviationqui continue d’offrir ses services au pays d’origine en tant que ministre par intérim défense civile.
Ignorant le caractère dommageable que prend cette tendance, Alexis Tsipras a encouragé les dirigeants de SYRIZA à se poser en experts des accidents maritimes. Lors de leurs apparitions publiques, les candidats à la députation et aux dirigeants présentent des rapports d’expertise sur les causes du drame mais aussi sur les données répréhensibles qu’ils ont diagnostiquées de la gigantesque opération de recherche et de sauvetage qui se déroule depuis environ 24 heures au large de Pylos.
Indistinctement et avec des images brutes de trolls sur Internet, ils ciblent les garde-côtes, accusant les équipes de secours de ne pas être intervenues sur le bateau de pêche où se déroulaient des activités illégales. Cependant, ils évitent de consulter l’un des « sages » d’Alexis Tsipras ou même de faire référence au SOS dans la littérature, ce qui les découragerait de faire des déclarations aussi lâches.
Une simple préparation et une recherche d’aide les ramèneraient à la réalité, qui interdit expressément une telle ingérence dans les eaux internationales. L’UNCLOS autorise la surveillance dans les eaux internationales, ce qui peut également inclure des « interventions » de pays tiers, c’est-à-dire Resalto ou Tow. On suppose que l’espionnage dans les eaux internationales est autorisé par l’État du pavillon, puisque le navire est la souveraineté – le territoire – de l’État du pavillon.
Si Koumoundourou subordonnait les craintes des petits partis au bon sens, ils interdiraient les propos ou les attaques liant le naufrage au naufrage Clôture à Evros. Parce qu’une compréhension élémentaire permet de comprendre que les courants de la Méditerranée orientale diffèrent de ceux de la Méditerranée centrale. Dans ce domaine également, ils pourraient consulter leurs interlocuteurs privilégiés des organisations non gouvernementales.
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