France : Message clair du ministre français des Affaires étrangères à la Turquie : « Nous sommes du côté de la Grèce »

des messages clairs pour eux Turquie qu’il doit éviter les défis, mais aussi que le La France sera du côté de la Grèce en cas d’attaquea envoyé le ministre français des affaires étrangères, Catherine Colonne, lors de sa visite à Athènes. Plus précisément Katrin Colona dans ses déclarations conjointes avec le ministre grec des Affaires étrangères Nicos Dendias, il a d’abord souligné la qualité des relations Athènes-Paris tout en remerciant notamment la Grèce pour son soutien à la France dans la lutte contre les incendies. Il s’est également félicité de la sortie de la Grèce du mécanisme de surveillance renforcée, soulignant qu’elle témoigne de « la volonté ferme et de la résilience » du pays.

Colona a souligné que lors de sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères Nicos Dendias, ont eu l’opportunité d’explorer tout l’éventail des défis bilatéraux, européens et régionaux qui sont très importants pour Athènes comme pour Paris. Des défis que, comme il l’a dit, « nous pouvons mieux relever ensemble ». Il a souligné que les positions de la Grèce et de la France sont complètement les mêmes sur toutes les questions.

Aller au chapitre Turquie, Colona a informé qu’elle était à Athènes immédiatement après sa visite à Ankara, au cours de laquelle elle a souligné que les développements en Méditerranée orientale avaient été discutés, et elle a informé Nikos Dendias de ce qui s’y passait. Comme il l’a dit avec le ministre turc des affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, « nous avons évoqué la montée des tensions entre la Turquie et certains de ses voisins ces derniers mois ». En effet, comme l’a souligné Colona, ​​ »j’ai fait part à notre collègue en Turquie des inquiétudes de la France face à cette escalade des tensions ».

« LA France Je répète je l’ai dit et je le répète était et sera du côté de la Grèce et de Chypre en ce qui concerne les menaces et les violations de la souveraineté au nom des pays voisins », a précisé Colona qui a ajouté : « Nous étions du côté de la Grèce et nous continuerons de l’être ». Dans le même temps, il a souligné que la France surveillait la situation pour éviter une éventuelle escalade. « Je l’ai dit à Ankara et je le répète ici », Colonna a souligné que, comme l’a également mentionné le ministre grec des Affaires étrangères, « personne ne veut l’escalade et l’escalade. » Elle a déclaré que « tout le monde devrait faire preuve de retenue », ce qui, comme l’a dit le ministre français des Affaires étrangères, elle s’en souvenait aussi Cavusoglu en Turquie et lui a même demandé « qu’il n’y a pas de déclarations qui pourraient être perçues comme des provocations ».

La région n’a pas besoin de tensions, mais de paix et de respect mutuel, a souligné Colona. Quelque chose que le Département d’État de de France il a répété et répondu à une question connexe, soulignant pour la énième fois que tout le monde faisait tout son possible pour éviter l’escalade. Mais lorsque la situation atteint une aggravation extrême, Colona a rappelé que la Grèce et la France « ont signé un accord de coopération stratégique pour les affaires ». Un accord dans lequel, a-t-il dit, il y a un article pertinent « qui décrit précisément que si l’une des parties constate qu’il y a une attaque armée sur le territoire d’un pays ou d’un autre, il y aura entraide mutuelle ». . Pour réitérer avec insistance que « nous faisons tous ce que nous pouvons pour éviter de nous retrouver dans cette situation ».

Il est rappelé que dans l’accord signé en 2021 pour « Partenariat stratégique de coopération en matière de défense et de sécurité » inclus (article 2) une clause d’assistance de défense mutuelle en cas d’attaque de l’un ou l’autre pays sur son territoire. La Grèce se protège ainsi des menaces, notamment en Méditerranée orientale. Parallèlement, l’accord donne corps à l’article 42, paragraphe 7, du traité sur l’Union européenne relatif à la clause de défense mutuelle. Avec cet accord, la Grèce et la France dépassent leurs obligations mutuelles dans le cadre de l’Union européenne et de l’OTAN. Dans le même temps, ils renforcent le pilier européen de la défense et l’OTAN, car ce sont deux États membres de l’UE mais aussi des alliés de l’OTAN.

Mélissa Sault

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