France : mais elle a été dépassée par… le Portugal !

On ne peut pas dire que les Français aient été indifférents au match qui s'est déroulé mardi soir à New Philadelphia. Au lieu de cela, ils ont exigé la victoire, une de plus dans ce groupe de la phase de qualification, dans le but d'atteindre « huit sur huit », c'est-à-dire d'atteindre la finale.

Même le « très » Mbappé a été lancé sur le terrain par Deschamps, qui voulait renverser la situation et assurer les points gagnants.

Evidemment, l'entraîneur français veut toujours réussir, car personne ne doit oublier le « Je veux plus de buts » qu'il a dit à ses joueurs à la mi-temps du dernier match contre (malheureux) Gibraltar. Ce qui s'est finalement soldé par un assourdissant 14-0 pour l'équipe de France.

Où d'autre pouvait-on voir que les Français ne jouaient pas juste pour jouer ? Dans les retards, Mbappé lance une attaque terrible, déclenchant un « blitz », mais Vlahodemos sursaute et réalise un arrêt impressionnant.

Et dans ses déclarations d'après-match, Griezmann a parlé de la technique de ligne et de la nécessité qu'elle soit présente à tout moment, citant une période au cours de laquelle les visiteurs ont affirmé que le ballon avait franchi la ligne de but du gardien grec. Harcelant…

Un « autre » ressortissant

Qu’a accompli l’équipe nationale grecque maintenant ? Il était convaincu d'avoir progressé au fil des matchs et dans un groupe très difficile (contre la France et la Hollande). Il a un bon profil de course.

A l'exception du match à l'extérieur contre les Oranje, elle a maîtrisé la plupart des matchs, s'est montrée affirmée et a montré des performances prometteuses en vue du match de barrage contre le Kazakhstan puis de la finale des barrages. Bref, cela permet à tous les Grecs d’être optimistes.

Les joueurs jouent pour l'équipe et peut-être aussi pour l'entraîneur, Poget, malgré ses éclats occasionnels, a donné une identité à l'ensemble et chaque footballeur connaît exactement son rôle.

Ce n'est pas un hasard si, par exemple, Bakasetas est sur une belle lancée, Vlachodemos est l'« as » incontesté et les autres revendiquent une place dans la belle histoire de la (potentielle) qualification.

Le plus intéressant est que l'équipe nationale a arrêté les fiers Français d'un record important qu'ils poursuivaient avec beaucoup de passion. Ils voulaient être la seule équipe, à part le Portugal, à ne pas perdre un point.

Les Ibères ont fait le « dix sur dix » et ont réalisé 36 buts: 2 et un total de 30 points. Bien sûr, il n'y avait pas de bêtes dans le groupe, qui a été complété par des groupes comme la Slovaquie, le Luxembourg, l'Islande, (surprise négative) la Bosnie-Herzégovine et le Liechtenstein.

Après le match contre la Grèce, la France restait à « sept victoires et un nul ». Le fait que nous ayons quelque peu ridé le visage radieux de la France nationale joue à notre avantage…

Mélissa Sault

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