France : l’affaire Zacharopoulou ouvre le débat sur le consentement des patients aux tests médicaux

L’affaire Zacharopoulou proposé de tenir le très important débat sur la question du consentement des patients à leurs examens médicaux, a déclaré le Premier ministre français Elizabeth Bournea demandé le vice-ministre et gynécologue gréco-français lors d’une interview télévisée sur les plaintes des patients Chrysoula Zaharopoulou qu’en 2016, alors qu’il exerçait au CHU Tenon à Paris, elle l’avait soumise à des examens liés à son état d’endométriose, qu’elle se plaignait d’être extrêmement douloureux.

Se référant plus largement aux allégations de « viol » auxquelles ont récemment fait face des membres de son gouvernement, la Première ministre française a déclaré que « les allégations ont été faites que Justice elle va faire son boulot » et en même temps déclarer qu’on est « forcément très exposé » en politique.

Deux Françaises ont porté plainte – l’une en mai et l’autre en juin – pour viol Chrysoula Zaharopoulou, Gynécologue et membre du gouvernement Macron depuis mai, comme le rapportent les médias français mercredi.

Ce plaintesfaisant apparemment référence à la période où le vice-ministre gréco-français n’était pas impliqué dans la politique et la médecine, parle de « viol », le parquet de Paris traitant de l’affaire indiquant qu’ils font l’objet d’une enquête « dans un contexte médical».

Zacharopoulou est considéré comme l’un des politiciens les plus puissants du gouvernement Macron et est un gynécologue spécialisé dans l’endométriose.

Elle nie les allégations.

Le gouvernement français cherche une majorité

Concernant les principaux enjeux de la vie politique en France, la Première ministre française a déclaré ne pas comprendre les caractérisations de l’opposition dans laquelle se trouve le gouvernement. « Suspension », peu importe ce que c’est « officiel », « inexistant » et ce qu’il a « Contrat temporaire ».

Lorsqu’on lui a demandé si et dans quelle mesure elle pouvait gouverner sans majorité absolue à l’Assemblée nationale, la Première ministre française a répondu : « Nous devons écouter les propositions de chacun pour former la majorité… C’est ce que nous recherchons, comment nous peut trouver des majorités, des majorités. » « .

Interrogé sur la position de la coalition présidentielle à l’Assemblée nationale face aux propositions d’amendements et de projets de loi de l’opposition, dont l’extrême droite Rassemblement national. Marine LePen Bourne a commenté: « Nous ne pouvons pas exclure les amendements en fonction de qui les soumet. »

Parlant d’une relation plus privilégiée avec les républicains, Bourne a reconnu que l’administration « va évidemment travailler avec les républicains, qui ont un grand groupe ».

Interrogé sur la volonté de la majorité du président de faire des concessions pour parvenir à des accords et faire avancer certains dossiers, notamment sur les retraites, le Premier ministre français a répondu vaguement :

« Ça fait partie des discussions… Il faut financer un modèle social… Il faut mettre les options sur la table… Je pense qu’on peut trouver des majorités dans les partis démocrates », sans préciser s’ils les incluent Gauche Société des Nations de Jean-Luc Mélenchon ou même le parti de Le Pen.

Erec Parris

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