« Le roi est nu », écrit le journal français « Le Figaro » dans l’article d’aujourd’hui. « Le roi est nu », écrit le journal français « Le Figaro » dans l’article d’aujourd’hui.
L’adoption de la loi française sur l’immigration a suscité une tempête de réactions et le président Emmanuel Macron défend activement sa mise en œuvre. Des réactions ont eu lieu tant à l’extrême droite qu’au sein du parti au pouvoir, tandis que le ministre de la Santé a récemment démissionné, provoquant encore plus de troubles.
« Le roi est nu », écrit le journal français « Le Figaro » dans son article d’aujourd’hui, tandis que Macron a tenté dans son interview d’hier de convaincre les Français qu’il fallait adopter la loi correspondante pour empêcher que l’immigration clandestine ne soit traitée efficacement tout en minimisant la démission. du ministre de la Santé Aurélien Rousseau. D’après le site protothema.gr
Comme le rapporte le journal britannique The Guardian, le président français a nié que la loi votée par le Parlement ait déclenché une crise politique dans sa faction centriste, même si elle a entraîné la démission d’un ministre de premier plan et que beaucoup y voient une victoire de l’extrême droite française. .
Macron a également souligné qu’il respectait pleinement la décision de démission du ministre de la Santé Aurélien Rousseau, mais a souligné que personne n’était irremplaçable, « au premier rang » le président lui-même.
Elle a réitéré que la loi sur l’immigration adoptée donne des points à l’extrémiste de droite française Marine Le Pen et à son parti (RN), et a rapidement accusé son parti de « grosses manœuvres », affirmant qu’elle avait adopté bon nombre des idées de son parti et a ajouté à son propre texte ajouté à l’immigration.
«Le texte ne contient aucune idée du parti d’extrême droite (RN). « L’adoption de cette loi est une défaite pour Le Pen », a notamment déclaré Macron, ajoutant: « La lutte contre l’immigration clandestine n’est pas seulement l’affaire de la droite. » Si vous habitez dans un quartier populaire touché par ça, vous êtes favorable à cette loi. « Si vous vivez dans des quartiers agréables où ces problèmes ne vous concernent pas, vous pouvez dire : « Oh, ce n’est pas bien », mais beaucoup de personnes vivant dans des zones vulnérables soutiennent cette loi. »
Le projet de loi initial du gouvernement a été rejeté par l’Assemblée nationale française il y a dix jours après qu’une motion de rejet des Verts ait été soutenue par l’extrême gauche et l’extrême droite.
Le gouvernement, qui n’a pas la majorité absolue au Parlement français après l’élection présidentielle de l’année dernière, a soumis le projet de loi à une commission parlementaire multipartite composée de députés et de sénateurs pour rédiger un nouveau texte contre l’immigration clandestine. Les membres du Sénat de droite ont ajouté des mesures strictes qui ne figuraient pas dans le texte original.
Macron a admis qu’il n’était pas d’accord avec tous les changements apportés au plan initial, mais a souligné que ce n’était pas une raison suffisante pour abandonner le projet de loi, qui a mis plus d’un an à être rédigé et adopté.
« C’est compréhensible que cela dérange certaines personnes et je respecte ça. » On peut parler de valeurs, mais on parle d’une réalité. Le texte a été élaboré par le gouvernement mais est le résultat d’un compromis. C’est ce que voulait le peuple lorsqu’il a voté et nous a donné une majorité relative. Quel choix avions-nous ? Fallait-il dire que nous allions arrêter, que lutter contre l’immigration clandestine était une mauvaise idée ? NON. Nous avons mis en place un comité pour trouver un compromis. « Ce texte est le fruit de ce compromis », a déclaré sans détour le président de la Ve République française, ajoutant : « Est-ce que je saute de joie ? » NON. Il y a des choses là-dedans que je n’aime pas… La question posée au gouvernement était : est-ce qu’on le bloque parce que nous n’aimons pas certaines parties ? NON. Quand on gouverne, on doit prendre des décisions difficiles. Sommes-nous en train de dire que nous devrions faire quelque chose d’utile pour le pays, ou est-ce que nous ne faisons rien parce que ce n’est pas exactement ce que nous voulions ? Le pays attendait cette loi.
« Ce qui anime aujourd’hui le parti d’extrême droite ‘RN’, c’est le sentiment que les gens ont parfois le sentiment que ces mesures ne sont pas efficaces… Mais cette loi permettra de lutter plus efficacement contre l’immigration clandestine. » Nous sommes un pays qui a toujours accueilli les immigrés. et nous continuerons à le faire. Mais nous devons lutter contre le flux de l’immigration illégale et nos processus pour y parvenir sont compliqués et c’est pourquoi nous avons perdu le contrôle.»
« Notre premier objectif est de lutter contre l’immigration clandestine et le deuxième objectif est de promouvoir une meilleure intégration par la langue et le travail. « Ce sont les deux grands thèmes du texte », a souligné le président français.
Pendant ce temps, l’ambiance lors du dîner de Noël organisé hier à l’initiative de la Première ministre Elizabeth Bourne était froide.
24 heures après l’adoption de la loi controversée, comme le commentait le journal « Le Figaro », les « macronistes » semblaient sombres avec leurs conjoints en passant devant le grand sapin orné de boules rouges et or au milieu de l’imposant escalier de marbre. du Palais du Premier Ministre.
Auparavant, lors du conseil des ministres à l’Elysée, l’ambiance était à nouveau « un peu » puisque le fauteuil du ministre de la Santé restait vide. Quatre mois après sa nomination, Aurélien Rousseau a démissionné car il n’était pas d’accord avec le projet de loi concerné.
« Le roi (Macron) est nu », écrit le journal « Le Figaro » dans le titre de l’article d’Yves Tear, qui commente les troubles politiques provoqués par l’adoption de la loi en la matière, la démission du ministre de la Santé et le grand malaise des membres de son parti, arrive à la conclusion que la nouvelle loi ne résout pas le problème à la racine.
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