manifestation Force de la Grèce contre la Franceà sa première « Bleu et Blanc » aux 21es Championnats du monde de natation à Doha. L'équipe de Alexia Kammenou Les choses ont été houleuses contre les Français qu'il s'est « incliné » avec l'emphase 11-6. L'équipe nationale féminine de polo, qui avait déjà assuré sa participation aux JO de Paris, a abordé le match sans stress et a une nouvelle fois démontré son talent. et sa supériorité. La prochaine équipe à prendre la route de la Grèce sera Espagne.
Cela a commencé… La Grèce est en colère contre la France
Xenaki a ouvert l'apport décisif du match en « écrivant » le 1-0 avec un joueur, tandis qu'elle a elle-même remporté un penalty qu'Eleftheriadou a transformé pour porter le score à 0-2. La Grèce, qui n'a laissé aucune place à la réaction en France, a pris trois buts d'avance (3-0) avec un très joli but de Nino des 6 mètres.
Les Français ont lancé une contre-attaque et avec deux attaques ciblées de Bouloubassi et Hertzka ont réduit le score à 3:2, mais la réaction des « bleu et blanc » a été immédiate, Pleuritou profitant de l'erreur de la défense adverse et créant un avance de deux points 4-2.
Diamantopoulou a ensuite « arrêté » la tentative de Batou avec une belle intervention, tandis que la Grèce était imparable dans son attaque et portait le score à 5-2 grâce à Elliniadis depuis l'intérieur de la surface. Le capitaine français Lou Gillet a donné un répit à son équipe en réduisant l'écart à deux (5:3) à la fin de la première mi-temps.
Le monologue de la Grèce sur l'attaque
La seconde mi-temps commence avec l'équipe nationale qui trouve une nouvelle fois une solution à l'attaque, Pleuritou menant 6-3, tandis que la France, bien que réduite à 6-4 avec Artaud, voit l'équipe de Kammenou passer à 8 avec Ninou :4 venu et Mavriokephalitaki, ce qui a augmenté la différence à quatre. La France, avec un buteur de Vernou, a réduit le score à 8-5, mais la suite s'est transformée en… monologue de l'équipe nationale, qui semblait inarrêtable dans son attaque. Avec Pleuritou comme acteur principal, marquant trois fois de suite et ne laissant aucun espace à la défense française, la différence « saute » à six (11-5).
La seule chose que la France a réussi à faire a été de marquer le point honorifique dans les dernières secondes pour atteindre la finale 11-6 en faveur de la Grèce.
Les huit minutes : 3-2, 2-1, 4-2, 2-1
L'ENFER: Diamantopoulou, Eleftheria Pleuritou (3), Eleftheriadou (1), Margarita Pleuritou, Xenaki (1), Patra, Ninou (2), Vasiliki Pleuritou (2), Giannopoulou, Myriokephalitaki (1), Stamatopoulou, Elliniadi (1), Tricha .
FRANCE: Riccro, André, Herteau (1), Bouloubassi (1), Juliette (2), Herzka (1), Daluin, Batou, Vernou (1), Raspo, Dole, Martino-Perret, Ardi.
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