A ce jour, seuls les médecins des hôpitaux publics et des structures de soins de santé primaires peuvent prescrire aux citoyens non assurés.
À compter d’aujourd’hui, vendredi 1er juillet, les citoyens non assurés ne peuvent prescrire des médicaments, des procédures thérapeutiques et des tests de diagnostic qu’aux médecins des hôpitaux publics et des établissements de soins de santé primaires.
Selon l’arrêté ministériel correspondant, sont exclus de la mesure :
• Les jeunes non assurés jusqu’à l’âge de 18 ans.
• Patients non assurés souffrant de déficience intellectuelle ou intellectuelle, d’autisme, de trisomie 21, de trouble bipolaire, de dépression avec symptômes psychotiques, de paralysie cérébrale ou de handicaps graves et multiples, les amputés recevant la prestation extra-hospitalière avec un taux d’invalidité de 67 % ou plus ceux qui ont un handicap certifié KEPA de 80% ou plus, pour chaque condition.
• Les patients non assurés atteints de maladies énumérées à l’annexe B du n° DYG3(a)/oc. 104747/26-10-2012 (B’ 2883) Arrêté conjoint des ministres de la santé, du travail et des affaires sociales portant modification et reformulation de l’arrêté ministériel conjoint n° Journal officiel 497/B/2012) « Liste des maladies, médicaments produits avec participation réduite ou sans participation de l’assuré », tel que modifié par le n° tél. 42000/oc. 12485/1481/6-6-2012 Joint Ministerial Order (Government Gazette 1814/B/2012) » tel que modifié, ainsi que les patients non assurés souffrant du syndrome d’immunodéficience (SIDA). Et
• La prescription de tous les vaccins sans exception pour tous les citoyens non assurés sans exception.
Dans certains cas, la prescription des médicaments, des actes thérapeutiques et des tests diagnostiques est effectuée par tous les médecins agréés dans le Système de Prescription Electronique (ESPS) opérant dans les structures du système national de santé.
Pour les patients non assurés qui n’appartiennent pas aux catégories exclues, la prescription des préparations obligatoires prescrites par voie électronique est faite avec l’indication d’une participation à 100% des patients, à condition qu’elle soit effectuée par des médecins résidents et non dans des établissements publics.
La mesure a été jugée nécessaire, selon le ministère de la Santé, pour freiner les dépenses du gouvernement grec causées par la prescription.
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