Six points que le professeur de politique de santé à la LSE met en lumière au sujet de la maladie.
A l’occasion de l’annonce de la découverte du premier cas de variole dans notre pays, le calme est de mise, recommande le professeur de politique de santé à la LSE, Elias Mosialos.
Dans un message sur Facebook, M. Mosialos réitère la position exprimée par EODY selon laquelle le risque pour la population générale reste minime et se poursuit avec six points dont nous devons être conscients concernant la maladie.
Il précise notamment :
1. Depuis le début de l’année, nous avons 1400 cas possibles de variole en Afrique et 66 décès. Nous avons maintenant environ 1000 cas en dehors de l’Afrique.
2. Tous les cas en dehors de l’Afrique sont bénins et nous n’avons eu aucun décès jusqu’à présent.
3. La transmission du monkeypox est très difficile et seulement après un contact très étroit avec une personne malade ou un contact prolongé avec des objets utilisés par des personnes malades.
4. Il existe des médicaments et des vaccins, dont le vaccin contre la variole, qui est efficace contre le monkeypox.
5. Nous savons également que les personnes âgées qui ont reçu le vaccin contre la variole dans le passé sont également raisonnablement bien protégées contre la variole du singe.
6. Le risque pour la population générale reste minime et il n’est pas nécessaire de paniquer ou de réagir de manière excessive.
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