L’affaire Zacharopoulou offert d’avoir une discussion très importante sur ce sujet Consentement du patient lors de ses examens médicaux.
Cela a été déclaré par Premier ministre français Elizabeth Bournea demandé le vice-ministre et gynécologue gréco-français lors d’une interview télévisée sur les plaintes des patients Chrysoulas Zacharopoulou qu’en 2016, alors qu’il exerçait au CHU Tenon à Paris, extrêmement douloureux comme ils se plaignent, il les a soumis à des examens liés à la maladie de l’endométriose.
Généralement mentionné sur des allégations de « viol » Avec laquelle des membres de son gouvernement se sont récemment entretenus, la Première ministre française a déclaré que « les plaintes ont été déposées, la justice fera son travail », tout en notant que c’est le cas En politique on est « forcément très exposé ».
Sur les questions clés de la vie politique en France, Bourne a déclaré qu’elle comprenait la caractérisation par l’opposition du gouvernement comme « suspendu », « officiel », « inexistant » et sur un « contrat temporaire ».
Lorsqu’on lui a demandé si et dans quelle mesure il pouvait gouverner sans majorité absolue à l’Assemblée nationale, le Premier ministre français a répondu : « Nous devons écouter les propositions de chacun pour former la majorité… Nous étudions les moyens par lesquels nous pouvons trouver une majorité, des majorités ».
Interrogé sur la position de la coalition présidentielle à l’Assemblée nationale sur les amendements et les projets de loi proposés par l’opposition, y compris la « Coalition nationale » d’extrême droite de Marin Le Pen, Bourne a commenté : « Nous ne pouvons pas exclure des amendements en fonction de qui les soumet. »
Quant à une relation plus privilégiée avec les républicains, Bourne a reconnu que l’administration « va évidemment travailler avec les républicains qui ont un grand groupe ».
Interrogé sur la volonté de la majorité du président de faire des concessions, notamment sur les retraites, pour parvenir à des accords et faire avancer certains dossiers, le Premier ministre français a répondu vaguement « Cela fait partie du débat. Il faut financer un modèle social. Nous devons mettre les options sur la table. « Je pense qu’on peut trouver des majorités dans les partis démocrates », a-t-il déclaré, sans préciser s’il comprend l’Union populaire de gauche de Jean-Luc Melanson ou le parti de Le Pen.
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