Chariots des États-Unis, de la France à Xanthi

L’importance qu’Athènes attache à la protection des zones frontalières critiques telles que : Thrace avec la présence des alliés les plus proches de la Grèce reflète la présence du ministre de la Défense aujourd'hui Nikos Dendias dans la phase finale de l’exercice tactique post-troupes (TAMS) « Coopération Olympique-23 » (« Coopération Olympique-23 »), au stand de tir Petrochorio, Xanthi. M. Dendias a décidé de se rendre à Xanthi malgré la réunion d'aujourd'hui du Conseil gouvernemental de sécurité nationale (KYSEA), au cours de laquelle il sera représenté par le chef de l'Agence nationale de sécurité. Constantinos Floros. La principale raison de la décision de M. Dendias est le fait qu'outre les forces terrestres grecques du Etats-Unis et cela FranceLe République de ChypreLe Bulgarie et cela Agriculture. La présence simultanée de chars de combat américains et français à Xanthi est documentée pour la première fois et est le résultat de plusieurs années d'efforts. Il est à noter que l'accord mis en œuvre aujourd'hui a été conclu par l'ancien patron du GES Charalambos Lalousis. Cela a conduit à la présence d'un total de près de 800 militaires américains et français à Xanthi. La présence de M. Dendias à Petrochori est bien sûr aussi une déclaration indirecte mais peu claire de tout ce qui a été entendu du côté turc ces dernières semaines concernant la minorité. Des observateurs d'un total de neuf pays participeront à l'exercice (Égypte, Albanie, Arménie, Émirats arabes unis, Jordanie, Inde, République de Chypre, Roumanie et Arabie saoudite).

Il convient toutefois de souligner que, malgré la quasi-absence de tout mouvement sur le terrain, quelques violations des règles de la FIR d'Athènes (4) ont été enregistrées hier dans le sud-est de la mer Égée par un avion à hélice ATR-72. Bien que de tels incidents ne soient pas évalués, ils sont plus visibles que par le passé en raison de l’absence de trafic dans la FIR d’Athènes et dans l’espace aérien national pendant une très longue période. Au même moment à Ankara le ministre de la Défense nationale Yasar Güler semble avoir été impliqué dans une course pour obtenir des solutions alternatives pour la fourniture d'avions de combat, notamment l'Eurofighter, au cas où le cas américain se produirait F 16. Cependant, ces déclarations publiques ont été faites par le président turc il y a quelques jours. Recep Tayyip Erdoğan et maintenant par M. Güler, mais aussi les retards dans la sanction de l'adhésion de la Suède à l'OTAN témoignent de la qualité – plutôt médiocre – des relations américano-turques au stade actuel. Le Eurofighter Ils sont fabriqués par un consortium de quatre pays (Royaume-Uni, Italie, Espagne et Allemagne) et leur éventuelle vente à la Turquie est actuellement « bloquée » par Berlin.

Le transfert du ministre de la Défense à Petrohori est aussi une réponse indirecte à tout ce qui a été entendu du côté turc au sujet de la minorité ces dernières semaines.

Rencontrer

Selon Hurriet, M. Guler devait rencontrer son homologue britannique Grant Shapps. Des sources du ministère turc de la Défense ont déclaré que M. Güler avait souligné que « bien que le processus d'acquisition et de modernisation du F-16 se poursuive, le seul avion sur lequel nous nous concentrons est l'Eurofighter ». Sinon, nous n'avons pas d'autre travail. La question de l'achat d'Eurofighter est également à l'ordre du jour de la réunion d'aujourd'hui entre les deux ministres. Nous abordons la question de l’approvisionnement via le Royaume-Uni. Le Royaume-Uni déclare qu'il contribuera à surmonter les objections de l'Allemagne à ce sujet. En tant que Turquie, nous avons exprimé le souhait d'acheter 40 avions, 20 dans la première phase et 20 dans la phase suivante. L’avion que nous avons acheté ne sera certainement pas utilisé. Nous avons demandé à acheter le modèle haut de gamme.

Aglaë Salomon

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