Ce fut en effet un retour à la normale pour l’équipe nationale

L’équipe nationale de Poget en a fait assez pour convaincre contre l’Irlande, remportant à juste titre un match incontournable et montrant qu’elle revient à la normalité qu’elle a cruellement manquée. Bakasetas a prouvé pourquoi il ne laisse pas les onze le toucher, mais les autres ont également respecté leurs normes. Écrit par Nikos Syriodis.

Lorsque Poget a repris l’équipe nationale, il y avait une chose qu’il répétait avec insistance dans chaque énoncé qu’il prononçait. Que l’équipe doive également gagner en matches amicaux doit… devenir accro aux victoires, afin qu’elles deviennent leur « propriété » et reviennent là où tout le monde les admirait autrefois et était un modèle.

Ce n’est pas un processus facile. Si c’était le cas, ses prédécesseurs l’auraient fait aussi. Il y en avait pas mal, mais à l’exception de Michael Skibbe et, dans une certaine mesure, de John Van Sip, tous les autres ont lamentablement échoué. L’arrivée de l’Uruguayen avait pour objectif premier de transmettre l’instinct de vainqueur qui l’a toujours accompagné, son métal et son étincelle.

Jusqu’à présent, il s’en sort bien malgré les choses difficiles à venir, à commencer par le match de lundi contre une France renforcée et bien meilleure à Paris. Mais nous devons juger ce que nous avons vu jusqu’à présent. Une première dans un groupe de la Ligue des Nationsque nous avons mangé des « poignets » et 2X2 avant dans le groupe de qualification de l’EURO 2024.

Obtenir des jeux avec un « must » fort signifie un retour à la normale

Le match contre l’Irlande était une victoire incontournable pour nous. Lui et l’entraîneur l’avaient dit lors de la conférence de presse d’avant-match, déclarant que si les trois points ne venaient pas, les espoirs réalistes de progresser directement dans le groupe seraient minimisés. La victoire est pourtant venue, et ce fut l’un de ces « cris » de retour à la normale qui nous avaient tant manqué.

L’équipe nationale a été très bonne en première mi-temps, même si elle est entrée dans les vestiaires avec un match nul (13-3 finales et 61 % ^ -39 % de possession pendant cette période), elle a fait bonne figure en seconde mi-temps. et a marqué un beau but avec la signature de Bakaseta – Masura et puis c’est fait.

Il a subi une pression (pas terrible de toute façon), Vlachodemos était là, supprimant toute menace et c’est ainsi que la victoire est venue – un baume bien nécessaire. En fait, la photo à la fin avec Poget et les joueurs enlacés au milieu du terrain était également la preuve que l’Uruguayen a gagné le vestiaire, est le champion absolu, contrôle tout et la santé se montre.

Bakasetas a prouvé une fois de plus pourquoi il est intouchable pour Poget

De plus, on a beaucoup parlé de la décision de Poget de ne pas appeler Fortunis lors de ces deux matchs, soulignant que Bakasetas est intouchable depuis la formation de départ et que le joueur de Trabzonspor a prouvé une fois de plus qu’il est le leader de cette équipe. et qu’il peut faire ses preuves dans la meilleure phase de sa carrière.

Sans dire qu’il ne pouvait y avoir de place pour un joueur de la classe et de la qualité de « Fortos » (le soussigné a exprimé son opinion et n’en changera pas), du moins pour sa part, Bakasetas montre à chaque match qu’il a raison pilier de ce groupe unique, sa fondation, son début et sa fin.

Il a encore marqué (de la bille blanche), mis une balle de rêve dans le but de Masoura (excellent placement du pied gauche), voulait le ballon à ses pieds et était une menace constante pour les Irlandais avec son aile gauche venimeuse. Une autre performance de leadership globale et convaincante d’un footballeur qui a quitté la Grèce et est né de nouveau.

La France n’est pas dans nos « cabines », mais l’équipe nationale ne veut pas jouer un rôle de soutien à Paris

Cependant, à part Bakaseta, tous les joueurs ont fait leur travail, certains moins, d’autres plus. Le tout a parfaitement fonctionné, harmonieusement, l’équipe avait de la cohésion, elle a mis de bons éléments sur le terrain et les gens qui sont venus en masse dans l’OPAP Arena et ont poussé les bleus et blancs sont repartis pleins et heureux. Ce qui est certain, c’est que cela le fera revenir dans les prochains matchs.

Maintenant, l’équipe doit regarder vers l’avenir, car dans deux jours, elle aura peut-être le match le plus exigeant et le plus difficile depuis des années. Ils rencontrent la France championne du monde 2018 et finaliste 2022, qui cherche à prendre rapidement la première place du groupe et va donc foncer à plein régime pour tenir nos internationaux à distance.

Un jeu contre un adversaire dont les données ne sont pas contenues dans nos dés. Cela ne veut pas dire que l’équipe nationale entre sur le terrain pour endosser le rôle de remplaçante dans le show tricolore. Cette mentalité est étrangère à Poget et il ne laissera pas une équipe hors du terrain juste pour éviter d’être entraîné vers le bas. Elle poursuivra ce qui lui appartient, même si les chances sont minces.

Personne ne blâmera l’équipe nationale si elle perd, même si elle ne joue pas bien. Les Français sont largement supérieurs, ils sont supérieurs à tous les rangs, ils joueront dans un stade bondé, ils ne ralentiront pas. L’entraîneur sait tout cela et l’approche tactique du jeu sera intéressante car ce sera la première fois de son temps que les Bleu et Blanc affronteront un adversaire d’une telle qualité.

Gagner ou perdre, ce qui compte, c’est qu’il y ait des signes d’amélioration et que le travail soit fait. Il y aura toujours des discussions et des critiques sur les points de vue, mais au final, c’est l’image sur le terrain qui compte. Lorsque les résultats arriveront, personne ne se souciera de qui ils sont venus. Au final, c’est suffisant pour que l’équipe atteigne son objectif.

On le répète encore : l’objectif est de se qualifier pour les courts allemands à l’été 2024. La barre est mise là…

Onfroi Severin

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