Avec des souvenirs encore frais des situations violentes de l’année dernière dans les stades français, la Ligue 1 redémarre dans l’espoir d’un calme cette année, et la LFP, l’instance dirigeante française qui gère les grandes ligues professionnelles, a élaboré un plan pour tenter de mettre un terme à violences dans les stades.
« Il faut faire sortir les criminels des stades », a souligné le président de la LFP Vincent Labrune fin juin lors de l’Assemblée générale de la Fédération française (FFF), exposant les grands axes du plan des instances responsables du football français. . Le désir de la Ligue est de reprendre le contrôle de la sécurité de la Ligue.
Début juin, la LFP a mandaté le criminologue Alain Bauer pour mener un rapport sur les crimes de supporters qui ont émaillé la saison de Ligue 1. Les conclusions de ce rapport sont attendues en septembre.
Protocole pour les jeux à haut risque
Selon RMC Sports, la LFP a mis en œuvre ce qui avait été décidé lors de la réunion interministérielle sur les violences dans les stades en décembre 2021. Cette rencontre avec les trois ministères (ministère de l’intérieur, des sports et de la justice) avait débouché sur plusieurs réformes pour l’avenir. Par exemple, les équipes devaient disposer de mesures de sécurité anti-déchets (filets de sécurité) et anti-effraction (filets, plexiglas, barrières) qui pouvaient être retirées et repositionnées sur recommandation du préfet ou de la Direction nationale anti-hooliganisme (DNLH) . ).
En fait, le protocole de sécurité est renforcé pour la nouvelle saison et le panel exhorte les clubs à ajouter des mesures supplémentaires aux mesures de sécurité déjà en place, en particulier lors de matchs jugés à risque. La ligue a demandé aux 40 licenciés de Ligue 1 et Ligue 2 de rajouter des barrières anti-intrusion et des filets de sécurité pour ces rencontres.
Le choix appartient aux clubs : soit une cage – comme l’a fait Azaxios -, soit un filet articulé, soit plus de sécurité, des rails de sécurité, une protection en plexiglas, etc. Rien dans le cahier des charges n’est obligatoire pour chaque course de championnat.
Investissez dans la sécurité
Les clubs doivent également rattraper des années de sous-investissement dans la sécurité. Au début de l’année, par exemple, aucun club de Ligue 2 ne disposait d’un filet de sécurité. Ces derniers jours, des filets ont été disposés dans les tribunes, principalement dans les zones réservées aux invités. « Les clubs investissent beaucoup dans la sécurité des stades, même sans le mandat de la LFP », reconnaît le président de Ligue 1.
Par ailleurs, selon les informations de RMC Sports, de nombreuses autres nouveautés verront le jour. Lors du séminaire LFP à Toulouse début juillet avec les agents de sécurité des équipes de Ligue 1 et de Ligue 2, les clubs sont passés par tous les scénarios possibles avec des simulations d’événements (lancer de missile, cambriolage…). Depuis fin juin, une dizaine de clubs de la ligue doivent désormais composer avec un policier (comme à Paris ou à Saint-Etienne), une idée qui a débuté dans plusieurs clubs français en 2019.
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Avec des souvenirs encore frais des situations violentes de l’année dernière dans les stades français, la Ligue 1 redémarre dans l’espoir d’un calme cette année, et la LFP, l’instance dirigeante française qui gère les grandes ligues professionnelles, a élaboré un plan pour tenter de mettre un terme à violences dans les stades.
« Il faut faire sortir les criminels des stades », a souligné le président de la LFP Vincent Labrune fin juin lors de l’Assemblée générale de la Fédération française (FFF), exposant les grands axes du plan des instances responsables du football français. . Le désir de la Ligue est de reprendre le contrôle de la sécurité de la Ligue.
Début juin, la LFP a mandaté le criminologue Alain Bauer pour mener un rapport sur les crimes de supporters qui ont émaillé la saison de Ligue 1. Les conclusions de ce rapport sont attendues en septembre.
Protocole pour les jeux à haut risque
Selon RMC Sports, la LFP a mis en œuvre ce qui avait été décidé lors de la réunion interministérielle sur les violences dans les stades en décembre 2021. Cette rencontre avec les trois ministères (ministère de l’intérieur, des sports et de la justice) avait débouché sur plusieurs réformes pour l’avenir. Par exemple, les équipes devaient disposer de mesures de sécurité anti-déchets (filets de sécurité) et anti-effraction (filets, plexiglas, barrières) qui pouvaient être retirées et repositionnées sur recommandation du préfet ou de la Direction nationale anti-hooliganisme (DNLH) . ).
En fait, le protocole de sécurité est renforcé pour la nouvelle saison et le panel exhorte les clubs à ajouter des mesures supplémentaires aux mesures de sécurité déjà en place, en particulier lors de matchs jugés à risque. La ligue a demandé aux 40 licenciés de Ligue 1 et Ligue 2 de rajouter des barrières anti-intrusion et des filets de sécurité pour ces rencontres.
Le choix appartient aux clubs : soit une cage – comme l’a fait Azaxio –, soit un filet articulé, soit plus de sécurité, des rails de sécurité, une protection en plexiglas, etc. Rien dans le cahier des charges n’est obligatoire pour chaque course de championnat.
Investissez dans la sécurité
Les clubs doivent également rattraper des années de sous-investissement dans la sécurité. Au début de l’année, par exemple, aucun club de Ligue 2 ne disposait d’un filet de sécurité. Ces derniers jours, des filets ont été disposés dans les tribunes, principalement dans les zones réservées aux invités. « Les clubs investissent beaucoup dans la sécurité des stades, même sans le mandat de la LFP », reconnaît le président de Ligue 1.
Par ailleurs, selon les informations de RMC Sports, de nombreuses autres nouveautés verront le jour. Lors du séminaire LFP à Toulouse début juillet avec les agents de sécurité des équipes de Ligue 1 et de Ligue 2, les clubs sont passés en revue tous les scénarios possibles avec des simulations d’événements (lancer de missile, cambriolage…). Depuis fin juin, une dizaine de clubs de championnat ont dû faire face à un policier (comme à Paris ou à Saint-Etienne), une idée qui a débuté dans plusieurs clubs français en 2019.
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