Mystère en France avec des attaques à la seringue lors de concerts et de discothèques
Justin Astrouk a récemment été attaqué par un inconnu avec une seringue. L’étudiant de 24 ans de la ville de Rennes, dans l’ouest de la France, a déclaré à l’agence de presse Xinhua comment il a été piqué avec une seringue lors d’un concert le 21 mai. Il se tenait près de la scène du crime lorsqu’une substance inconnue a été injectée dans sa cuisse.
« Tout s’est bien passé au concert. Deux jours plus tard, sous la douche, j’ai découvert que j’avais une étrange cicatrice sur la cuisse. J’avais vu des photos sur les réseaux sociaux et j’ai immédiatement su qu’il y avait un problème. J’ai comparé le signe aux photos et j’ai vu une ressemblance », il se souvient. Astruk dit qu’à sa grande surprise Je n’ai rien ressenti pendant le concert.
Plusieurs attaques à la seringue ont été signalées depuis février dernier dans des boîtes de nuit, des concerts et des festivals de musique dans différentes régions de France. Le diffuseur français BFM TV a signalé 319 incidents de ce type dans les seules boîtes de nuit. 275 victimes d’attaques à la seringue ont porté plainte à la police.
Les cas sont partagés entre hommes et femmes, tandis que les injections étaient faites dans différentes parties du corps.
« Les attaques à la seringue ont commencé au Royaume-Uni en septembre dernier, puis ont refait surface en France. », raconte Leila Sawasi, pharmacienne à Paris. « Nous savons peu de choses sur ce phénomène : quel type de seringues sont utilisées lors de l’injection certaines substances et ce qu’elles sont», complété.
Des questions sont également interrogés sur les motivations des auteurspuisque la plupart des victimes n’ont pas signalé les attaques ultérieures.
Sawasi souligne que puisque les attaques ont lieu dans des endroits surpeuplés, les auteurs sont très difficiles à retrouver.
Occasionnellement, par ex.Les personnes transportant des seringues aux concerts et aux boîtes de nuit sont localisées, Mais c’est une excuse courante destiné à un usage personnelrapportent les médias français.
«« Une seringue peut être considérée comme une arme et une telle attaque peut être considérée comme préméditée. » dit l’avocat Marin Dourion. Souligne queLes auteurs encourent jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. à condition qu’ils n’aient pas injecté de substances nocives. Sinon emprisonnement peut atteindre 5 à 7 ans et l’amende jusqu’à 75 000 euros. sanction pour récidive c’est encore plus dur.
« De plus, le choc émotionnel de la victime doit être pris en compte», explique Dourion.
Voir également: États-Unis : Manifestations à travers le pays pour utiliser des armes à feu pour « arrêter le massacre ».
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