Erdogan attaque la France et l’Allemagne : « Ils deviennent des instruments de la propagande grecque »

Dans le « but » est fixé par Recep Tayyip Erdoğan la Allemagne et le France en vue de Déclarations de soutien à la Grèce contre les provocations turques croissantes et les atteintes à la souveraineté nationale dans les îles de la mer Égée. En parlant de pour « cibler » la Turquie.Erdogan va jusqu’à dire que Berlin et Paris auront lieu « Organes de propagande grecque et chypriote grecque ».

Le président turc a ouvert un nouveau « feu » sur la Grèce samedi lorsqu’il a affirmé s’adresser aux journalistes dans l’avion de retour de Sotchi « Ignore le droit international ».

Interrogé sur la position de l’Europe, et en particulier de l’Allemagne et de la France, envers Ankara, Erdogan a affirmé que les deux pays « visaient la Turquie en adoptant et en défendant les revendications injustes de la Grèce ».

« Le ministre des Affaires étrangères nous a donné les réponses nécessaires à ces déclarations unilatérales. Malheureusement, l’Allemagne et la France sont aussi des instruments de propagande grecque et chypriote grecque », a-t-il déclaré, faisant référence au conflit entre Mevlut Cavusoglu et Analena Burbok lors de leur conférence de presse conjointe à Istanbul il y a quelques jours.

« Il est inacceptable de critiquer notre pays avec ce estimations inexactes, tout en fermant les yeux sur les mesures prises par la Grèce qui ignorent le droit international. La position de la Turquie sur la stabilité et la sécurité de l’Europe est évidente », a déclaré Recep Tayyip Erdogan, faisant référence à la médiation de la Turquie pour convenir de la reprise des exportations de céréales ukrainiennes.

Le président turc a été interrogé à ce sujet problème de surveillance en Grèce, qu’il a refusé de commenter car il s’agissait d’une affaire interne. « Je ne suis pas impliqué dans les affaires intérieures de la Grèce », a-t-il déclaré.

Athènes voit positivement l’attitude de l’Allemagne et de la France, telle qu’exprimée par les ministres des Affaires étrangères des deux pays ces derniers jours face à la provocation turque croissante.

Des sources gouvernementales indiquent que c’est le résultat de la politique froide mais déterminée d’Athènes concernant l’internationalisation du révisionnisme turc, rappelant, entre autres, l’utilisation des cartes émises par Ankara, qui remettent directement en cause la souveraineté grecque des îles de la mer Égée.

Le chef de la diplomatie allemande a été spécifiquement visé par la Turquie Analena Burbok pour le soutien qu’elle a offert à Athènes lors de sa récente visite à un moment où la Turquie poursuit sa rhétorique provocatrice et insiste pour remettre en cause la souveraineté nationale.

L’agacement de la Turquie va si loin que son ministre des affaires étrangères, Mevlut Cavusogluest allé jusqu’à accuser l’Allemagne de devenir « un instrument de la provocation grecque ». a perdu son impartialité dans le rôle de médiateur entre la Turquie, la Grèce et Chypre.

Aglaë Salomon

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