Satellites : proche d’un accord entre le français Eutelsat et le britannique OneWeb – Courrier économique

L’accord d’acquisition de la société britannique est en phase finale Une toile de la société française satellites Selon la presse internationale d’Eutelsat, l’accord devrait être annoncé lundi.

Le partenariat entre les deux sociétés assurera essentiellement la coopération des intérêts britanniques, français et chinois et indiens dans la création d’un nouvel acteur mondial sur ses lignes de front. Construction d’un réseau satellitaire qui peut maintenant concourir plus facilement Lien stellaire par SpaceX, détenue par Elon Musk, et Project Kuiper par Jeff Bezos.

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Le principal actionnaire d’Eutelsat est l’Etat français avec une participation de 20%, le fonds souverain de la Chine détient également une participation de 5%. Selon elle, le gouvernement britannique détient une participation de 18 % dans OneWeb, principalement après avoir été renfloué de la faillite par le gouvernement Johnson, bien que le principal actionnaire soit le milliardaire indien Sunil Bharti Mittals Bharti Global avec 30 %.

changements dans la concurrence

Selon les informations, la société française, qui détient déjà 24% de OneWeb, procédera à son acquisition, réunissant des actionnaires français, britanniques, chinois et indiens dans la nouvelle société consolidée.

La valeur boursière de l’entreprise française s’élève à 2,4 milliards d’euros, celle du concurrent britannique à 3,4 milliards de dollars. Leur union leur donnera un meilleur accès au financement pour le développement d’un réseau satellitaire de nouvelle génération.

OneWeb compte actuellement 428 satellites en orbite, mais leur technologie est désormais considérée comme obsolète. En comparaison, le réseau Starlink de Musk compte 2 000 satellites à la pointe de la technologie.

Cependant, selon les termes de l’accord, le Royaume-Uni semble conserver les droits spéciaux dont il dispose en tant qu’actionnaire minoritaire pour des raisons de sécurité nationale. Parmi eux, le droit d’interdire l’accès à certains consommateurs, craignant que la fusion ne mette en péril l’alliance de sécurité stratégique que le pays a avec l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis.

Onfroi Severin

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