Thriller pour dimanche soir prochain, le second tour Élections parlementaires françaisesprédire les développements de ces dernières heures dans la dernière poussée électorale. Hier, il y a peut-être eu une dernière clarification du paysage concurrentiel dans les 501 circonscriptions uninominales (sur 577 au total) où de nouvelles élections auront lieu dimanche, mais les analystes politiques et les sondeurs en France sont incapables de faire des prévisions fermes pour le scrutin. pour le moment, au moins pour plusieurs raisons, pour pouvoir arriver au résultat.
Après la finale Résultats du premier tourL’élection de 76 représentants dans autant de circonscriptions a été confirmée. 39 d’entre eux appartiennent au RN de Le Pen – Bardela et leurs alliés, 32 dans l’alliance de gauche Nouveau Front Populaire – NFP, deux à la soirée « Ensemble » de Macron (Ensemble – DE), un des Républicains (Les Républicains – LR), alors qu’ils ont également été élus deux candidats indépendants de droite. C’est pourquoi ils seront installés dimanche prochain Renouvellement des sondages dans 501 circonscriptions.
Au premier tour le RN est arrivé premier dans 296 des 577 circonscriptions ; soit plus de la moitié, tandis que NFP avec 150 et Ensemble avec 60 étaient en tête.
Réaction significative mais pas universelle
Le fait est qu’il y a eu effectivement une réponse significative aux demandes des dirigeants des partis qui composent la coalition de gauche du NFP et du Premier ministre sortant. Gabriel Atal au nom de son parti Emmanuel Macronpour la formation d’un mur qui stoppera l’avancée de l’extrême droite au second tour et, en tout cas, empêchera le RN et ses alliés d’obtenir la majorité absolue.
En fait, il y en avait jusqu’à l’expiration du délai constitutionnel hier après-midi Retraits massifs de candidats des deux partis dans des centaines de circonscriptions où il y avait trois candidats ou plus au second tour pour donner la préférence aux candidats de l’autre parti, qui est généralement en tête et a de meilleures chances de vaincre son adversaire dimanche.
Mais si le NFP a connu un retrait général de ses candidats, cela n’a pas été le cas des candidats du parti de Macron. Les pertes furent importantes. La raison en est la rivalité de longue date entre les macronistes et son parti d’extrême gauche. Jean-Luc Mélenchonqui a poussé des personnalités emblématiques du camp de Macron, comme l’ancien premier ministre Édouard Philippe ou l’actuel ministre des Finances Bruno Lemaire, ainsi que d’autres hauts responsables du gouvernement ont refusé jusqu’au bout de coopérer avec le Nouveau Front populaire, considérant la majorité d’entre eux comme destructeurs comme son homologue d’extrême droite.
En savoir plus sur protothema.gr
« Nerd passionné des médias sociaux. Accro à la nourriture. Maven du Web. Expert de la télévision sans vergogne. Penseur amical. »