Le parti de Jean-Luc Mélenchon est condamné par le gouvernement pour son attitude face aux troubles de ces derniers jours.
Une violente confrontation politique s’ensuit France au sujet des troubles de la semaine dernière, le camp gouvernemental en accusant la gauche – et notamment le parti La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélanchonqu’avec l’attitude qu’il maintenait et évitait de s’adresser Appel au calmeessentiellement ajouté de l’huile sur le feu.
« Sans justice, il n’y aura pas de retour au calme« , a déclaré le représentant parlementaire de LFI devant l’Assemblée nationale française, Mathilde Bannièreen s’adressant au Premier ministre Elizabeth Bourne lui a dit que « Ils veulent nous blâmer pour notre colère alors qu’elle est enracinée dans un meurtre odieux.».
« Ils recherchent des coupables partout et dans toutes les institutions démocratiques, à l’exception des criminels violents« , a répondu le Premier ministre français, soulignant que les » désobéissants » avaient choisi cela « Le chemin de l’exagération, de la brutalité verbale et de l’évasion».
Enfin, en ce qui concerne la faction d’extrême droite : Marine Le Pen a accusé le gouvernement de «Il a créé des zones de non-droit où il a permis à certaines communautés de développer des activités criminelles.« pour transformer le pays en »enfer». « Qu’avez-vous fait de la France, qui a suivi pendant quarante ans la même politique que vos prédécesseurs ? » a-t-il demandé en appelant le gouvernement « Stopper l’immigration clandestine« et à »Prenez le contrôle de toutes les régions de France».
« Ne pas travailler pour l’unité du pays n’est pas responsableBourne a répondu à Le Pen, en soulignant la nécessité :pour l’unité nationale».
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