LE diplomatie française a souligné hier jeudi que Paris «condamné» les coups de feu mortels qui ont touché son établissement la veille, mercredi ONU. où des dizaines de milliers de personnes déplacées ont trouvé refuge dans la partie sud de la bande de Gaza, tout en appelant Israël «adhère au droit international».
« Les installations des Nations Unies et le personnel humanitaire dont le travail est vital pour les civils doivent être protégés», précise un communiqué publié par K. D'Orsay, rappelant : «la protection de la population civile » c'est comme ça « nécessité morale » ainsi que « obligation internationale».
Il a appelé Israël à «respecte le droit international, qui prescrit toujours et partout des principes clairs de discrimination, de nécessité, de proportionnalité et de mesures de précaution».
Toutefois, le ministère français des Affaires étrangères s'est explicitement abstenu de blâmer l'armée israélienne pour la fusillade.
Mercredi dernier, les Nations Unies ont rapporté que Panzer et ala ouvert le feu sur un centre éducatif à Khan Younis qui a été transformé en logement pour réfugiés après le déclenchement de la guerre dans l'enclave palestinienne le 7 octobre.
Ces coups ont eu pour effet 13 personnes meurent Selon l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), 56 autres personnes ont été blessées, dont 21 dans un état critique.
Les Nations Unies ont rapporté hier à l'AFP que l'armée israélienne avait ordonné le retrait immédiat des dizaines de milliers de personnes déplacées du refuge avant 17 heures (heure locale et grecque) aujourd'hui.
L’armée israélienne, pour sa part, a indiqué qu’elle « n’a pas cédé ».pas d'ordre spécifique de suppression accélérée» ni à l'UNRWA ni à «Ceux qui restent» dans et autour du refuge pour animaux.
Il a également souligné qu'il « exclut » la possibilité qu'il y ait eu une « frappe aérienne » amie ou que l'installation ait été touchée par son « artillerie », laissant ouverte la « possibilité » qu'il s'agisse de tirs du Hamas.
Le commissaire général de l'UNRWA, Philippe Lazzarini, avait précédemment condamné «violation flagrante des règles de guerre les plus élémentaires » et a souligné que les coordonnées du centre de formation « remis aux autorités israéliennes».
Selon un journaliste de l'AFP, les bombardements se sont poursuivis hier à Khan Younis, lieu de naissance de Yahya Sinwar, le leader du Hamas dans la bande de Gaza, considéré comme l'architecte de l'attaque sans précédent de la branche militaire du mouvement islamiste palestinien contre les régions du sud. du territoire israélien le 7 octobre.
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