« Le festival n’a pas l’intention de
pour un profit instantané »
Ce fut certainement l’un des événements culturels les plus importants de l’été, un événement ambitieux qui restera ici.
Le 1er Festival du livre de La Canée, qui s’est terminé dimanche, montre comment une ville peut accueillir un grand événement aux frontières ouvertes. L’organisateur principal était la municipalité de La Canée avec le soutien de la région de Crète et le soutien du ministère de la Culture et des Sports.
Avec la participation de plus de 100 intervenants – écrivains grecs, chypriotes, de France, d’Espagne, d’Italie, de Grande-Bretagne, d’Ukraine et du Pérou, des éditeurs, des universitaires, des traducteurs et des intellectuels, et plus de 60 présentations, débats, séminaires, concerts, projections de documentaires , narration musicale et lectures théâtrales de livres de prose grecque et étrangère moderne, poésie, essais, littérature pour enfants, par Gutenberg, Agra, Aparsis, Dioptra, Ekremes, Eresima, Ikaros, Kastaniotis, Kedros, Keimena, Metaichmio. , Metronomus, Minos, Patakis, Polis, Potamos, Compass of the City, Rhadamanthys, etc., le 1er Festival du livre de La Canée a exploré le concept de frontière et de frontière dans les domaines de la littérature, de l’histoire et de la politique internationale.
« En tant qu’événement de festival, il n’a aucun avantage immédiat et tangible, il ne vise pas un gain commercial immédiat. Son objectif est de semer la graine de la lecture, ou plutôt d’arroser la graine déjà existante de la bibliophilie, qui est importante et traditionnelle dans la ville », a déclaré le directeur du festival, M. Manolis Pimplis, dans une interview à Documento. Expliquant la philosophie de l’organisation, il déclare:
« Il se veut un rappel que la discussion ouverte, l’opinion libre, la culture du savoir et le plaisir de lire sont des éléments précieux qui revitalisent les sociétés et chaque personne individuellement. Il veut montrer qu’à une époque de tension économique, à une époque de monoculture touristique menacée, la préservation d’une identité ou sa culture, la recherche de l’équilibre collectif et individuel et la survie ultime collective passent par le savoir et la culture.
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