Amendement visant à renforcer la protection de la santé des consommateurs.
Les viticulteurs français expriment leurs inquiétudes quant à la fixation d’un prix minimum pour l’alcool dans le pays, alors que le politicien du MoDem, Cyrille Isaac-Sibille, cherche à adopter un prix minimum pour l’alcool. le changement dans la loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), lancée l’année dernière pour améliorer les résultats de la prévention en matière de santé en France et imposer un prix minimum par unité d’alcool. En introduisant une telle mesure, le prix d’une boisson alcoolisée serait ajusté en fonction de sa teneur en alcool et ne pourrait descendre en dessous d’un certain prix.
Mais les viticulteurs réagissent. Des milliers de vignerons se sont rassemblés à Narbonne, dans le sud de la France, le 25 novembre pour protester contre la baisse des revenus et les prix minimum de l’alcool proposés par le gouvernement.
Selon les données, un prix unitaire minimum pour l’alcool de 0,5 euro par unité d’alcool devrait s’appliquer. Réduire de 22 % la mortalité par cancer liée à l’alcool et 41 000 décès évitables par an dans le pays. La France est également le quatrième consommateur d’alcool.
Le panel soutient également qu’un MUP signifierait 0,5 euro par unité d’alcool. Baisse de 15 % des ventes aux consommateurs. Cependant, le Times a rapporté que les viticulteurs ont déclaré qu’un prix minimum entraînerait une baisse des ventes et réduirait encore davantage leurs revenus.
Parallèlement, un débat similaire a lieu au Royaume-Uni, où un prix unitaire minimum a déjà été introduit en Écosse. Isaac-Sibille aimerait en effet prendre l’exemple de l’Écosse, où une étude a révélé que depuis l’introduction de la mesure, le nombre de décès dus à la consommation d’alcool a diminué de 13,4 % et le nombre d’hospitalisations de 4,1 %. %.
Ces chiffres sont cependant controversés. Dr. Dans une lettre adressée à l’Autorité britannique des statistiques, Sandesh Gulhane des conservateurs a demandé une enquête sur le rapport de Public Health Scotland, qui affirmait que le MUP avait un « impact positif » sur les résultats en matière de santé. Selon Gulhane, 32 des 40 études citées dans le rapport n’ont pas rapporté les effets du MUP sur la santé, et sept autres des huit autres études sur les résultats sur la santé ont trouvé des résultats négatifs ou peu concluants. Seule une seule étude aurait pu éviter des décès, selon le rapport.
Une autre étude réalisée plus tôt cette année a révélé que le secteur de l’alcool n’était pas affecté par le MUP. Il a suggéré que le L’impact de la baisse des volumes de ventes a été compensé par la hausse de la valeur des ventes.
https://www.thedrinksbusiness.com/2023/11/concern-about-minimum-unit-pricing-in-france/
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