Sa démission est à la disposition du président français Emmanuel Macron perçu par le Premier ministre français Elizabeth Bourne.
Selon la présidence française, Macron n’a pas accepté la démission du Premier ministre français « afin que le gouvernement puisse rester en fonction dans les prochains jours ».
Emmanuel Macron n’a pas la majorité absolue à l’Assemblée nationale française après l’élection de dimanche. Face à cette situation, le chef de l’Etat va « mener les concertations politiques nécessaires (…) pour identifier les solutions constructives attendues au service des Français », précise l’Elysée dans son annonce avant une série de rencontres avec les dirigeants de les parties cet après-midi le président de la France se réunissent au palais présidentiel.
Macron prend contact avec les partis : les coopérations possibles, les scénarios et en toile de fond… les élections
Macron doit résoudre une énigme difficile après les résultats des élections législatives. L’ensemble du président Macron a perdu la majorité parlementaire avec 245 sièges, alors qu’une majorité absolue en requiert 289, ce qui rend la prochaine législature plus difficile car elle doit trouver des alliés.
Dans ce climat, Macron a décidé de rencontrer successivement les chefs « des partis qui entendent former un groupe politique au Parlement », a annoncé lundi soir le Palais des Champs-Elysées.
« Puisqu’il n’y a pas de majorité parlementaire, la question se pose de savoir comment les décisions nécessaires pour le pays sont prises et mises en œuvre. « C’est le but de cette rencontre avec les forces politiques », a-t-il déclaré dans les cercles proches du président.
Le président républicain Christian Jacob a accepté l’invitation, a rapporté l’agence de presse française.
Les scénarios possibles pour le lendemain
Cependant, si les rencontres « de charme » du président français s’avèrent infructueuses, les scénarios suivants existent :
gouvernement de coopération: Compte tenu de l’humeur de ses rivaux Jacques-Luc Melanson et Marin Le Pen, il est préférable que le président français soit avec les républicains pour diriger un gouvernement coopératif. Alors qu’il y avait des intersections avec les restes de la droite golienne, « l’aura du perdant » a supprimé les « partis modérés » visés par l’Elysée. Dans ce contexte, le chef du Parti républicain, Christian Jacob, a déclaré que son parti resterait dans l’opposition après que la faction du président français Emmanuel Macron ait perdu la majorité absolue au Parlement. Si les républicains restent dans cette position, former un gouvernement coopératif sera extrêmement difficile.
gouvernement minoritaire : Dans ce cas, Emanuel Macron formera un gouvernement minoritaire, mais sera contraint d’investir trop de temps et d’énergie dans les négociations pour former une majorité ad hoc, compte tenu du climat de guerre que lui opposent respectivement les représentants extrémistes Zack Melanson et Marin Le Pen. Même si ses opposants politiques sont d’accord sur le principe avec une telle solution, ils exigeront un revirement à 360 degrés du président français sur des questions telles que les retraites, la fiscalité des entreprises, l’augmentation du salaire minimum, le gel des prix alimentaires, etc. , ce qui annulera pratiquement toute tentative de consensus.
Élections anticipées : Si la situation atteint une impasse complète, il est possible que le président français convoque des élections anticipées ou active les dispositions légales pour ignorer l’Assemblée nationale pour servir des situations critiques pour le pays.
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