Les États-Unis lui attribuent sept transactions répréhensibles impliquant l’achat de technologies américaines à des entreprises britanniques.
La détention de « l’espion » Nikos Bogonicolo, 59 ans, dans une prison parisienne a été prolongée. L’examen de l’homme d’affaires grec, originaire de Patras, a été reporté.
Nikos Bogonicolos restera à la prison de Frenses à Paris pendant encore au moins un mois. L’homme d’affaires et ancien sportif a été interpellé le 9 mai sur le sol français.
Il est accusé de complot et d’implication dans une organisation criminelle dans le but de faire de la contrebande d’électronique au profit de la Russie et, selon les autorités américaines, de fournir à Moscou des technologies militaires de fabrication américaine dans le but de développer des armes de nouvelle génération.
Selon les informations exclusives de « P », l’examen de la demande de libération conditionnelle de Nikos Bogonicoulou pendant sa détention à Paris a été reporté au 9 juillet.
Selon les mêmes informations, le report est dû à un problème de procédure lié à la transmission d’un document complémentaire par les autorités américaines aux autorités françaises.
Il est rappelé que les États-Unis ont crédité Nikos Bogonicolos de 7 transactions répréhensibles impliquant l’achat de technologie américaine à des entreprises britanniques avec une filiale de consommation de l’homme d’affaires grec « Aratos », des « matériels » qui se sont retrouvés dans les services de renseignement de la Russie sans le consentement du vendeurs.
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