Premier mois festif sur les marchés européens – SHOP

Chroniqueur : Salle de presse

RÉDACTION

Les marchés européens ont célébré du début à la fin de la session l’adoption par le Congrès du projet de loi sur le plafond de la dette américaine. Ainsi, les bonnes nouvelles du front de l’inflation, qui ont chuté plus que prévu, ont agi comme la « cerise sur le gâteau » et ont solidifié les gains des indices.

Le Stoxx 600 paneuropéen a clôturé en hausse de 0,78% à 455 points, son plus bas niveau en deux mois. Presque tous les sous-secteurs ont affiché des gains, menés par les actions minières, qui ont augmenté de 2,2 % grâce aux paris sur l’augmentation des ventes grâce à un rebond de l’activité industrielle en Chine.

En fonction du tableau de bord des principaux marchés, il est finalement devenu… vert, le DAX allemand gagnant 1,21 % à 15 853 points, tandis que le CAC 40 français a évolué avec plus de prudence en prévision de l’évaluation économique Standard & Poor’s d’aujourd’hui, avec une augmentation de l’altitude de 0,55 % à 15 853 points. 7 137 points et le FTSE 100 à Londres a augmenté de 0,59% à 7 490 points.

Climat similaire sur l’ensemble de la région : le FTSE MIB à Milan affiche une hausse dynamique de 2,01% à 26 575 points et l’IBEX 35 à Madrid, formé à 9 167 points, progresse de 1,30%.

Les investisseurs en Europe ont également été soulagés par le résultat de la session du Congrès, où le feu vert sur l’accord sur la dette ouvre la voie à la finalisation du processus législatif du Sénat, où les choses devraient se dérouler beaucoup plus facilement. Il est donc considéré comme certain que le défaut, bien que mineur, sera évité juste avant l’échéance du 5 juin.

Dans le même temps, les marchés ont semblé satisfaits d’un ralentissement de l’inflation plus fort que prévu, qui s’est établi à 6,1 % en glissement annuel, contre 7 % en avril. Les analystes tablaient sur une baisse à 6,3%.

Bien sûr, la pré-saison a été marquée par les chiffres publiés les jours précédents par des pays clés comme l’Allemagne, la France et l’Espagne, qui ont également connu un ralentissement des pressions inflationnistes, mais la forte baisse annoncée par Eurostat a été une agréable surprise. Le seul pays où l’indice est plus élevé que prévu est l’Italie, même si celui-ci est également en baisse par rapport au mois précédent.

Mais malgré ces chiffres, tout indique que la BCE n’est pas prête à mettre fin au cycle haussier des taux d’intérêt, l’inflation restant à des niveaux très élevés et nécessitant de nouvelles interventions de politique monétaire.

Toujours au Royaume-Uni, un rapport de la Banque d’Angleterre sur les attentes des entreprises concernant les niveaux de prix a montré que ceux qui s’attendaient à des hausses de prix pour l’année prochaine étaient de 5,1 %, contre 5,9 % enregistrés en avril. Tout en restant à ces niveaux bien au-dessus de l’objectif de 2% de la BoE, il s’agit d’un élément encourageant avant la réunion du nouveau niveau de taux d’intérêt de la banque centrale plus tard ce mois-ci.

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Thibault Tremble

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