Alors que Georges Tsipras affirmé que le SYRIZA était justifiée par les événements avec « Petite Marie d’Evros » Même si les faits eux-mêmes l’ont démenti, selon le rédacteur en chef du « Spiegel », Stephen KlusmannElle quitte le magazine allemand.
Selon un article du Frankfurter Allgemeine Zeitung, Klusman est considéré comme responsable de « l’échec de l’histoire de la fille de Syrie qui serait morte à la frontière gréco-turque, qui n’existait probablement pas ».
Dirk Kurbjuweit prendra ses fonctions, comme l’entreprise l’a annoncé jeudi.
Dans son article dans le FAZ, il est dit que l’Association des journalistes allemands (DJV) « appelle depuis longtemps à la fin de la controverse Spiegel ». Le syndicat pourrait tout aussi bien exiger que le magazine cesse de paraître. Parce que les litiges juridiques font « partie » du miroir. Cela a été le cas depuis l’époque de son fondateur Rudolf Augstein et n’a jamais changé. Les éditeurs aiment s’épuiser les uns après les autres. C’est maintenant au tour de Stephen Klusman. Après que des rumeurs aient circulé dans le monde entier sur son départ imminent, c’est devenu officiel jeudi soir : Klussmann quitte Der Spiegel. Et cela aurait été à la demande du personnel et de la direction.
Le FAZ note que Klusman était en « confrontation permanente » avec l’un des trois actionnaires et héritiers du fondateur du magazine. Il était devenu clair qu’ils voulaient se débarrasser de Klusman. Et comme le rapporte le FAZ, elle le considère comme responsable de « l’échec de l’histoire de la fille de Syrie qui serait morte à la frontière gréco-turque, qui n’existait probablement pas ».
G. Tsipras : Au fond, nous ne nous sommes pas trompés
Le député de SYRIZA, George Tsipras, dans ses déclarations de jeudi, a qualifié la question de « la petite Maria » à Evros d’existante, malgré le fait que le « Spiegel », qui l’avait souligné, avait retiré l’article en question, ainsi que tout ce qui paraissait rétrospectivement qu’un tel incident ne s’est jamais produit, compte tenu des dommages qu’il a causés aux communications de SYRIZA.
Lorsqu’il s’est adressé à SKAI et lui a demandé si le sujet de la « petite Maria » était bon ou mauvais pour SYRIZA, il a répondu : « D’un point de vue de la gestion de la communication, ça nous a fait mal, en fait nous n’avions pas tort ». déclare : « M. Mitarakis lui-même avait mis en évidence le problème, mais au lieu de lui faire payer, nous l’avons principalement payé.
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