En tout cas, les investissements directs étrangers grecs ne sont pas en danger et tout se déroulera comme prévu, et les Turcs peuvent en être sûrs.
Par conséquent presse française La frégate Amiral Ronarc’h en construction au chantier naval de Lorient du géant français Naval Group a été la cible d’actions malveillantes.
L’information parle de pur sabotage aux chantiers navals de Naval Group par le vol de câbles du F/C Amiral Ronarc’h en construction.
Les autorités françaises ont ouvert une enquête pour savoir qui a attaqué la frégate française (FDI) Amiral Ronarc’h.
L’enquête diligentée par le parquet militaire de Rennes vise à faire la lumière sur les soupçons de sabotage qui ont récemment visé la frégate, qui doit être livrée à la Marine nationale en 2024.
Les navires de guerre grecs en construction sont-ils en danger ?
Les autorités françaises sont très rigoureuses tout au long de la procédure et n’ont pas l’intention de reproduire un phénomène similaire dans ces chantiers navals, tant en raison de la construction des frégates grecques qu’en raison des commandes en cours d’autres pays.
La question de savoir qui a tenté de saboter le chantier naval français a de nombreuses implications et des réponses possibles allant de l’espionnage industriel aux actions de services hostiles d’autres pays ayant un intérêt direct à ne pas retarder la construction des frégates mentionnées.
Par exemple, la frégate de la marine hellénique FDI KIMON sera lancée en octobre 2023 et livrée à la marine hellénique d’ici la fin de 2023.
Dans environ six mois, nous verrons probablement la frégate KIMON lancer également des essais en mer dans la mer Égée, s’attirant les foudres des Turcs, qui jetèrent à la mer le porte-hélicoptères Anadolou dans une démonstration de force.
Par exemple, qui ne souhaiterait pas une telle opportunité alors que se déroule en même temps la construction du porte-hélicoptères Anadolou, qui entrera bientôt en exploitation en mer Égée et en Méditerranée orientale ?
Bien sûr, les « voisins », alors qu’il y a d’autres intérêts d’autres pays qui veulent freiner les avancées technologiques de la France à d’autres fins. En tout cas, les investissements directs étrangers grecs ne sont pas en danger et tout se passera comme prévu, et les Turcs peuvent en être sûrs.
La frégate « Défense et Intervention » (FDI) est plus petite que les FREMM et associe dans sa conception et sa construction les dernières innovations technologiques et le savoir-faire de NAVAL GROUP à forte valeur ajoutée. Il est polyvalent et conçu pour tous les domaines de la guerre. Avec la commande de la Grèce en 2022, six frégates Belh@rra sont déjà en production à Lorient et trois autres frégates sont en cours de production en tranches optionnelles.
« Équipé d’une architecture numérique distribuée basée sur le cloud, il s’agit d’un navire évolutif et résilient qui fournit les services dont les marins d’aujourd’hui ont besoin, à la demande. » indique de manière significative l’entreprise de fabrication.
Selon la marine hellénique, les navires porteront le nom de trois grands amiraux de la Grèce antique : Kimon, Nearchus et Phormion. Ces noms étaient auparavant utilisés pour les destroyers américains de la classe Charles F. Adams en service dans la marine hellénique de 1991 à 2004.
Comme nous l’avons déjà mentionné à plusieurs reprises, les frégates FDI-HN disposeront de capacités de haute qualité dans chaque domaine : capacités anti-navires, anti-aériennes et anti-sous-marines. La défense aérienne et la protection contre les menaces de surface sont assurées par des capteurs de pointe, dont Thales Sea Fire, le premier radar multifonction entièrement numérique avec antenne active et panneaux fixes.
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