Des « alarmes » ont été tirées chez Naval Group, le chantier naval qui construit également les frégates grecques, alors que la cour martiale de Rennes a ouvert une enquête pour découvrir ce qui s’est exactement passé dans le prétendu sabotage qui semble avoir eu lieu sur la frégate française Amiral Ronarc en cours de construction. ‘h – le premier FDI-, selon une publication du « Télégramme » français.
Selon des médias français, plusieurs câbles de la nouvelle frégate française ont été intentionnellement sectionnés il y a quelques semaines Amiral Ronarquequi est en cuve de réparation de chantier naval depuis la mi-janvier et devrait même être livré à la Marine nationale en 2024.
Ses représentants groupe naval Ils ont déclaré au Télégramme : « Après avoir découvert un sabotage sur l’un de nos navires, nous l’avons immédiatement signalé. » Une enquête est en cours et, espérons-le, fera la lumière sur ces actes. Nous avons également renforcé les mesures de sécurité et de protection sur nos lieux de travail (y compris les chantiers navals).
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L’affaire a été reprise par la cour martiale de Rennes, qui a annoncé hier, mardi 23 mai 2023, qu’elle avait bien ouvert une enquête pour « démolition de biens pouvant porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation, un crime » en vertu de l’article 411.9 du le Code pénal prévoyait et punissait.
« Le Telegramme » énumère deux scénarios possibles : un acte isolé d’un salarié mécontent ou un acte de sabotage au profit d’intérêts étrangers.
Les médias français listent les sanctions pour ce délit précis : dans le premier cas, quinze ans d’emprisonnement et 225 000 euros d’amende sont prononcés. Dans le second cas, il est puni de vingt ans de prison et de 300 000 euros d’amende.
Incident également sur un navire britannique
Il est rappelé qu’il y a quelques jours, un incident similaire s’est produit sur la frégate de type 26 HMS Glasgow de la Royal Navy de Grande-Bretagne, qui impliquait un « sabotage délibéré », ont rapporté les médias britanniques. Certains câbles du HMS Glasgow ont été « volontairement endommagés », a indiqué le constructeur BAE Systems.
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