Le ministre français des Finances n’a pas identifié les banques visées par les réclamations et a déclaré que la détermination du montant des recettes fiscales perdues est toujours en cours.
Récupérer 2,5 milliards d’euros Les autorités françaises exigent des remboursements d’impôts, ciblant les banques qui auraient joué un rôle clé dans un programme visant à éviter les impôts liés aux paiements de dividendes, ont déclaré les Français Le ministre du Budget Gabriel Atal.
LE Par exemple annoncé le montant lors de sa réunion sénat le 2 mai, et c’était la première fois que le gouvernement français quantifiait la perte potentielle de recettes publiques du soi-disant Cum Cum Transactions conçu pour éviter ces taxes.
LE ministre français des finances n’a pas identifié les banques auxquelles les réclamations ont été présentées et a déclaré que des travaux sont toujours en cours pour déterminer le montant des recettes fiscales perdues.
Le journal Le Monde Qui a rapporté les déclarations du ministre français, a ajouté que le montant 2,5 milliards d’euros a été considérée par la Commission comme une fraude fiscale présumée 2017 à 2019. Reuters rapporte que le bureau d’Attal n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire mardi. Un porte-parole du bureau du procureur général a refusé de commenter.
Nous vous rappelons qu’en mars, le fisc français a perquisitionné les bureaux de cinq banques à Paris, dont Société Générale, BNP Paribas et HSBCcomme on le soupçonne en cas d’évasion fiscale.
Les enquêtes visaient également exanesde quelle partie il s’agit BNP Paribaset le Natixisla banque d’investissement du groupe bancaire français BPCE. Des enquêtes similaires ont été menées dans Allemagne et dans d’autres pays européens. Les banques ont refusé de commenter.
Les banques françaises auraient aidé leurs clients étrangers en prenant temporairement des actions dans des sociétés françaises les jours de dividende pour éviter les impôts, ont déclaré les procureurs en mars. Quelques jours après l’enquête, l’Association bancaire française a déclaré qu’elle avait fait appel au plus haut tribunal administratif du pays pour exiger plus de clarté de la part du gouvernement sur les règles actuelles en matière d’imposition des dividendes.
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