Eleftheria Plevritou dans Gazzetta : « Au départ la première du groupe »

Eleftheria Plevritou n’a que 25 ans mais se prépare toujours pour le 5e championnat du monde de sa carrière et parle à Gazzetta de la nouvelle page tournée dans le groupe représentatif.

LA Eleftheria Plevritou Elle est née en avril 1997 et prépare déjà le 5e championnat du monde de sa carrière avec l’équipe nationale féminine de water-polo à Budapest.

Barcelone 2013, Kazan 2015, Budapest 2017 et Guangzhou 2019 sont les stations mondiales du joueur de 25 ans originaire de Thessalonique.

Il y a dix ans, elle est devenue championne du monde junior à Perth et a même terminé parmi les sept premières lors de cet événement. Il y a quelques mois, son été 2012, par exempleavait fait ses débuts dans l’équipe nationale féminine, participé aux phases finales de la ligue mondiale et remporté la médaille de bronze. Eleftheria Plevritou est un cas incroyable, elle est remarquable à l’Olympiakos depuis 2011.

« C’est déjà ma cinquième Coupe du monde (rires). 2013 pour la première fois à Barcelone, il y avait définitivement la crainte d’être comme un homme plus jeune parmi les coéquipiers et les joueurs étrangers que j’admirais, je ne l’oublierai jamais. On m’a alors dit que j’étais le plus jeune de la Coupe du monde. Les années passent très vite, il m’arrive de m’asseoir et de les compter, je pense à elles et je suis choquée. « C’est ma onzième année dans l’équipe nationale féminine », a-t-elle déclaré un journal Eleftheria Plevritou.

Alors que les larmes séchaient

Dans ce parcours avec l’équipe nationale tu as vécu une grande joie qui médaille d’argent aux Championnats d’Europe 2018 à Barcelone. En demi-finale, les Grecques ont battu les Espagnoles 11 à 9, avec trois buts d’Eleftheria Plevritou, lors du match de l’élite de l’équipe nationale après la victoire de la Coupe du monde 2011 à Shanghai.

Il a connu d’autres déceptions, comme celle de perdre contre la Russie aux tirs au but au printemps 2016 lors du tournoi pré-olympique aux Pays-Bas, dans le match qui a assuré le déplacement à Rio de Janeiro.

« Comment oublier ça, je me suis assise sur le banc avec trois phrases et j’ai pleuré parce que je pensais qu’on était passé quand tout était perdu et que les larmes avaient séché », se souvient Eleftheria Plevritou.

Maintenant Eleftheria Plevritou est l’une des joueuses appelées à diriger l’équipe nationale avec l’entraîneur national. M. Alexia Kammenouet l’assistant de Tasso Ardent s’appuyant beaucoup sur leur expérience.

L’équipe représentative au niveau Championnat du Monde doit avoir deux 6e places (2013, 2015), une 7e (2017) et une 8e (2019) après la médaille d’or à Shanghai.

LIBERTÉ DE CÔTÉ

Une nouvelle page s’ouvre où Eleftheria Plevritou déclare : « Nous sommes dans un nouveau départ, le staff technique est nouveau, certains petits joueurs sont venus de l’arrière, quelque chose qui se passe dans toutes les équipes est le développement naturel. Il y a de l’optimisme, bien sûr on regarde les matchs les uns après les autres, on veut d’abord la première place du groupe.

La Grèce joue dans le groupe Zeged et joue à tour de rôle Thaïlande (20/06), Espagne (22/06) et France (24/6).

« Nous n’avons peut-être pas eu beaucoup de temps pour nous préparer, mais je pense que l’équipe s’en sortira très bien, nous avons de grandes ambitions pour l’avenir. En fait, le nouveau cycle olympique commence maintenant, hors de ce monde, et que ce soit le déclencheur d’un très bon parcours pour l’équipe nationale féminine », a conclu l’Olympiacos Regional.

Onfroi Severin

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