Dans polar l’opération d’évacuation des civils dans Soudan, tandis que la terre s’enfonce de plus en plus profondément chaos et violences.
Les yeux de la cellule de gestion de crise du ministère des Affaires étrangères et de l’Etat-major de la Défense nationale sont tournés vers Khartoum, où plusieurs Les Grecs rester attrapé au carrefour du feu secoue la capitale soudanaise.
La communication difficile ainsi que la situation fluide et en constante escalade sur le site compensent presque tout impossible son décharge Citoyens hors des couloirs sûrs.
Des rapports de Khartoum parlent de catholicisme effondrement de la téléphonie mobile et fixe dans une grande partie de la capitale, rendant encore plus difficile la localisation et le déplacement des Grecs et des Chypriotes basés dans le pays.
Efforts agressifs
Le Aéroport par lequel les civils sont évacués des opérations militaires internationales, est situé à environ 20 kilomètres de la capitale et est contrôlé par des équipes d’opérations spéciales de France, d’Italie, de Suède et de Grande-Bretagne, chargées de protéger les avions de transport qui atterrissent pour récupérer les citoyens bloqués .
Les Grecs et les Chypriotes qui ont rejoint les missions françaises et italiennes à Djibouti ont quitté cet aéroport militaire. Pour que les convois de civils parcourent cette distance et atteignent finalement le secteur nord de la ville, où se trouve la base aérienne, des véhicules blindés et une escorte de soldats des pays alliés sont nécessaires, car les affrontements font rage tout au long du parcours.
Des témoins parlent d’un « enfer de feu » dans les rues de Khartoum, tandis qu’à plusieurs reprises des citoyens, dont des Grecs, qui tentaient de se déplacer sans escorte ont subi les tirs des deux armées adverses.
La coordination des actions d’évacuation est rendue encore plus difficile par le grand nombre civils qui veulent quitter la zone de guerre, alors que des craintes s’expriment quant à la fermeture prochaine de la « fenêtre » ouverte par l’utilisation de l’aéroport militaire.
Le ministère des Affaires étrangères est en communication ouverte avec tout le monde allié Forces présentes au Soudan pour assurer l’expulsion des citoyens grecs et chypriotes, avec Nikos Dendias en contact permanent avec ses homologues d’Egypte, de France, d’Italie et d’Allemagne.
Mobilisation internationale
Depuis le début des opérations, la zone au-dessus du Soudan a été étroitement surveillée par les forces occidentales pour s’assurer qu’elle est maintenue Sortir « couloir ». à Djibouti. Selon leurs propres déclarations, de puissantes unités des forces aériennes américaines et françaises dotées d’avions de chasse, de radars volants et de drones y sont stationnées afin de « fermer l’espace aérien » à d’éventuelles menaces. Asun en Egypte pour les récupérer premiers Grecs et les citoyens chypriotes libérés de Khartoum. À bord de l’avion se trouvaient une partie du commandement spécial de la guerre des forces armées helléniques, ainsi que le vice-ministre de la Défense, Nikos Hardalias.
L’Air Force C-130 reste Egyptetandis que suite à l’arrivée du C-27J au 112th Fighter Squadron à Elefsina, un deuxième C-27J se rendra en Egypte où il sera prêt à soutenir les opérations d’évacuation.
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