Dendias: dix autres Grecs libérés du Soudan – rapport Limnos

Dix autres Grecs et leurs familles ont été libérés Soudanqui sont déjà à Djibouti, comme l’a annoncé le ministre des Affaires étrangères Nicos Dendias. Selon le ministre grec des Affaires étrangères, tous sont en bonne santé, alors que cette fois leur libération s’est faite avec l’aide de l’Italie.

L’ambassadeur de Grèce en Éthiopie et le consul honoraire de notre pays à Djibouti sont déjà là pour vous Accueil de citoyens grecs spécifiques et fournir toute assistance.

Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a été informé de ces développements.

Le ministre des Affaires étrangères a exprimé ses remerciements Son homologue française, Catherine Colonna et la vice-ministre française des Affaires étrangères, Katerina Zacharopoulou, pour le soutien important apporté à la France dans l’évacuation en toute sécurité des Grecs susmentionnés du Soudan ».

Lors du Conseil Affaires étrangères d’aujourd’hui, Nikos Dendias les exprimera Merci à son homologue italien, Antonio Tajani, pour l’aide essentielle de l’Italie dans la libération des Grecs susmentionnés du Soudan.

Le processus et la coordination avec les partenaires et alliés de l’UE pour la libération des Grecs restants et des membres de leur famille sont en cours.

Tous les Grecs devaient être expulsés du Soudan déchiré par la guerre s’élèverait à 100, avec leurs familles.

La première partie de l’opération d’évacuation des Grecs qui y vivaient Soudan conçu et exécuté dans le secret absolu, avec le ministère des Affaires étrangères Et État-major de la Défense nationale faire preuve de volonté et d’une grande coordination.

Après Informations de CNN Grèce, dans les dernières vingt-quatre heures, il a eu lieu flot de contacts entre la partie grecque et les forces alliées situées dans la zone élargie du Soudan pour saisir toutes les « fenêtres » d’opportunité pour l’évacuation des citoyens grecs et chypriotes, en particulier les deux blessés qui avaient besoin d’une assistance immédiate.

Préparations fébriles

L’équipe de crise du ministère fédéral des Affaires étrangères et GEETHA a examiné tous les scénarios possibles pour le retrait en toute sécurité des une centaine de Grecs et des Chypriotes et leurs familles de la capitale, Khartoum. La direction militaire en a informé le gouvernement dès le premier instant Projet « MONDE » sur l’évacuation de la population des zones de guerre, sur la base de la vaste expérience des forces armées grecques dans ce type d’opérations, tout en fournissant au Premier ministre lui-même et aux autorités diplomatiques du pays une image précise toutes les quelques heures des développements sur le terrain.

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Les scénarios envisagés

Plusieurs scénarios ont été mis sur la table car la situation au Soudan est fluide et en constante évolution, tandis que les possibilités de négociations avec les factions belligérantes sont limitées, voire inexistantes. Il a d’abord été examiné Possibilité de transport de passagers en véhicule à la frontière avec l’Egypte. Un scénario qui a été rejeté en raison du manque de garanties de sécurité mais aussi de la longue distance de plus de mille kilomètres à parcourir.

Le scénario consistant à transporter des personnes à Port-Soudan était considéré comme tout aussi dangereux pour elles leur enlèvement par embarcation et plus particulièrement avec les frégates navales. L’éloignement et les hostilités dans une grande partie du pays, mais surtout les raids aériens, n’ont pas permis de former des convois de voitures pour les acheminer vers l’Est. Elle s’est donc qualifiée évacuation aérienne sur Djibouti.

Dans l’organisation de l’opération de sauvetage Nikos Dendias, ministre des Affaires étrangères, il était en coordination avec Washington via des contacts avec l’ambassadeur américain en Grèce George Tsouni et le chef de la diplomatie européenne Joseph Borrell, ainsi qu’avec la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna et son homologue égyptien Sameh Shoukry. Dans le même temps, l’état-major du GEETHA s’est entretenu avec toutes les parties concernées, la France, l’Égypte et Djibouti, pour garantir des installations militaires et un « couloir » sûr pour la circulation des Grecs et des Chypriotes au Soudan.

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« chaîne » occidentale

La situation au Soudan, et en particulier dans la capitale Khartoum, devenant incontrôlable, la solution était une option Créer une « chaîne » des pays occidentaux pour la libération de leur personnel diplomatique et de leurs citoyens. Plus précisément, le plan présenté au Premier ministre Kyriakos Mitsotakis par l’unité de gestion des crises du ministère des Affaires étrangères et le ministère grec des Affaires étrangères était le transfert progressif des Grecs du Soudan vers Djibouti par les airs français et avec le soutien de l’Ambassade de France à Khartoum.

Dans le même temps, il a été décidé de poser deux avions de transport de la Luftwaffe, un C-130 et un C-27 dans une base aérienne du sud de l’Égypte. Les avions, transportant une équipe du Special Warfare Command ainsi que du personnel médical et des diplomates, se rendront ensuite à Djibouti lorsqu’un nombre suffisant de Grecs seront rassemblés pour les transporter en Grèce. Deux autres transporteurs sont prêts à soutenir l’opération de sauvetage.

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Initiative européenne

Dans la « chaîne » qui s’est mise en place avec l’aide de Paris D’autres pays européens sont également impliqués, embarquant puis récupérant leurs citoyens sur l’A400 français. Djibouti, où une « base » d’avions multinationale a été installée pour transporter des civils. Après tout, au cours des dernières heures, l’espace aérien du pays africain a été plein d’avions militaires étrangers stationnés temporairement à l’aéroport international du pays.

Cependant, Nikos Dendias devrait soulever de toute urgence la question de l’évacuation des citoyens européens du Soudan pendant son mandat Réunion du Conseil des affaires étrangères qui se réunit aujourd’hui à Bruxelles. Dans le même temps, la situation sur le terrain laisse peu de place à l’optimisme quant à un cessez-le-feu.

Erec Parris

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