Une combinaison des conclusions tirées des découvertes de la tragédie du train Tempe formera le plan d’action à prendre par le Ministère des Infrastructures et des Transports pour l’amélioration du chemin de fer.
Le ministre d’État Giorgos Gerapetritis, responsable des infrastructures et des transports, l’a souligné jeudi lors d’une réunion d’information avec des journalistes à l’occasion de la publication des conclusions sur l’accident de Tempi, dont, cependant, les proches des Comité d’expertsle plus compétent pour développer les conclusions du constat.
Que, ministère, comme il diffuse ethnos.gr, est déjà en attente d’achèvement Agence ferroviaire européennequi se concentrera principalement sur l’évaluation des causes d’accidents et l’amélioration du modèle d’organisation, mais ne sera pas prêt avant septembre prochain, et le rapport des chemins de fer français, qui se concentrera sur les questions de formation, d’exploitation et de transfert de compétences.
Une délégation française arrivera à Athènes la semaine prochaine
La semaine prochaine, une délégation française conduite par le ministre français des Transports se rendra à Athènes pour signer un protocole de coopération entre l’OSE et les Chemins de fer français.
Selon M. Gerapetritis, il y aura également un appel téléphonique avec le ministre italien des Transports, tandis qu’une réunion physique entre les deux ministres sur les investissements de Hellenic Train n’est pas exclue d’ici mai.
Ce que Gerapetritis a dit à propos de la découverte
Se référant à la conclusion de la commission d’experts, M. Gerapetritis a noté qu' »il enregistre les dates de l’accident tragique avec précision et impartialité », ajoutant que « malgré ce qui a été dit par intérêt politique, la commission est manipulatrice et partiale, car vous remarquerez qu’il s’agit d’une constatation d’enregistrement réel et non d’une constatation de dissimulation. Il serait bon que ceux qui ont critiqué la Commission pour son objectivité et le gouvernement pour ses intentions fassent leur propre autocritique. »
Il a ajouté que la découverte met également en évidence des défaillances systémiques, dont beaucoup sont de longue date, liées à de graves violations humaines des règles générales de circulation routière applicables et en relation avec les structures organisationnelles des chemins de fer. Cependant, il a noté qu’il reflète le jugement scientifique des membres de la commission et analyse des incidents réels et « ne juge pas », alors qu’il a lui-même déclaré ne pas l’avoir encore lu en détail, mais le communiqué du ministère a souligné « qu’il y a déjà reçu une réponse et il y aura d’autres éclaircissements. »
« La plupart des recommandations de la conclusion ont été mises en œuvre »
Selon lui, la plupart des propositions de l’accord ont déjà été mises en œuvre par le ministère ou sont en phase préparatoire. « Le réseau a rouvert dans des conditions strictes de sécurité et la réponse du public voyageur a été extrêmement positive avec des taux d’occupation très élevés allant jusqu’à 100%, montrant la confiance qui est progressivement retrouvée. »
Concernant le personnel supplémentaire, il a rappelé qu’avec la législation adoptée, le recrutement par l’ASEP de 140 personnes et la réintégration de 160 brigadiers dont les contrats étaient arrivés à expiration se poursuivront immédiatement. Cependant, il convient de noter qu’aucun recrutement n’est prévu dans la période précédant les élections, de sorte que le processus sera plus lent.
Quant aux contrats de signalisation et de contrôle à distance (y compris le système ETCS), selon le ministre, ils progressent rapidement et seront achevés d’ici la fin septembre de cette année.
Les principaux problèmes de retard
Il convient de noter que la conclusion de la commission d’experts, notamment sur la question des projets, fait largement référence au renouvellement continu des contrats et souligne que les principaux problèmes des retards concernent :
• La législation en constante évolution sur les appels d’offres de fournitures, de services et de travaux publics
• Le manque de dirigeants qualifiés dans l’État et dans les DEKO
• Accorder des prolongations pour l’achèvement des projets.
• L’acceptation de demandes d’extension sans un contrôle approfondi de la responsabilité des contractants.
La Commission propose même le développement d’un nouveau système de transparence pour le suivi de tous les projets d’infrastructures publiques et d’un système central de suivi numérique des projets techniques, ce qui « empêcherait évidemment l’octroi systématique de prolongations et la poursuite de la mise en œuvre des projets ».
On rappelle que récemment, à l’occasion de la présentation de l’opposition officielle, le président du SYRIZA, Alexis Tsipras, a évoqué la nécessité de développer une nouvelle « transparence » des projets et de mettre en place un système numérique centralisé de suivi des projets techniques Infrastructure programme et trafic.
Suivez Imerisi sur Google Actualités !
« Organisateur incurable. Joueur. Étudiant. Passionné de Twitter. Geek des voyages. Totalement introverti. Nerd de la musique. »