Le président français a évoqué la question taïwanaise avec son homologue chinois Xi Jinping et, selon la présidence française, « la discussion a été intense et ouverte ».
Pas un croyant en être Etats-Unis ou la Chine dans sa question Taïwandemande à l’Europe o Emmanuel Macron dis ça « refuse d’entrer dans la logique de bloc » dans une interview au journal Les Échos.
« Le pire serait de penser que nous, les Européens, devrions suivre » à leur sujet Taïwan « et s’adapter aux rythmes américains ou aux surréactions chinoises », explique le président français dans l’interview publiée aujourd’hui et donnée vendredi lors de sa visite Chine et avant le début des exercices militaires chinois pour l’encercler Taïwan.
« Notre priorité n’est pas de nous adapter à l’agenda des autres dans toutes les régions du monde »dit. « Pourquoi devrions-nous nous lancer sur le rythme que d’autres ont choisi ? Il faut se poser la question de notre propre intérêt dans le moment donné, sachant qu’on ne veut pas entrer dans la logique du bloc. ».
Son président de France discuté de leur sujet Taïwan avec son homologue chinois Xi Jinping et, comme l’a annoncé la présidence française, « La discussion a été intense et honnête »alors qu’Emmanuel Macron a attiré l’attention sur la montée des tensions dans la région, « ce qui pourrait conduire à un accident grave. »
Dans son interview, son président de France soutient que l’Europe doit lutter pour son autonomie stratégique et met en garde contre une aggravation du conflit entre les deux pôles provoquée par la États-Unis et la Chine et pour le risque « On n’a plus le temps ni les moyens de financer cette autonomie stratégique ». « On devient des vassaux, alors qu’on peut être le troisième pôle si on a quelques années pour le construire »dit.
« Le paradoxe serait qu’au moment où nous introduisons les éléments d’une véritable autonomie stratégique européenne, nous essayons de suivre la politique américaine par réflexe de panique. » prévient Emmanuel Macron, qui exprime sa satisfaction d’avoir « gagné la bataille idéologique ». Union européenne: « Depuis cinq ans, nous disons qu’il n’y a pas de souveraineté européenne. »
Le président français appelle à renforcer les défenses de l’Europe et à accélérer la lutte pour le nucléaire et les énergies renouvelables en Europe.
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