Plus de 7 000 soldats de 8 États membres de l’OTAN participent au plus grand exercice militaire français depuis des décennies.
Le partenariat stratégique entre la Grèce et la France est désormais historiquement le plus fort, les forces armées des deux pays travaillant ensemble plus fréquemment dans de nombreux exercices impliquant différents scénarios.
La France organise actuellement son plus grand exercice militaire depuis des décennies.
La deuxième phase de l’exercice Orion impliquera 7 000 soldats de 8 pays – alliés de l’OTAN – dont la France, pays hôte. ORION met l’accent à la fois sur les opérations terrestres et aéroterrestres de défense, maritimes et sur un nouveau champ d’enjeux qui est la marque de fabrique du nouveau choeur, le cyberespace.
« Orion »
Dérivé du grec ancien Orion, l’exercice Orion s’inspire de la mythologie grecque. Orion était le chasseur le plus célèbre de la mythologie grecque, alors qu’il est mentionné comme une constellation dans l’Iliade d’Homère.
La France a entamé son plus grand exercice militaire depuis des décennies.
La deuxième phase d’Orion, déjà en cours, implique 7 000 soldats, dont des ressources du pays hôte, la France, les États-Unis et le Royaume-Uni, ainsi que des ressources navales des alliés de l’OTAN, l’Allemagne, la Grèce, l’Italie, les Pays-Bas et l’Espagne. Il se concentre sur les opérations terrestres, aériennes, maritimes et de cyberdéfense.
Dans le cadre de l’exercice, trois avions de transport A400M de l’Armée de l’Air française ont largué 700 soldats français du 8e Régiment de parachutistes de marine et une compagnie rattachée du 17e Régiment de parachutistes du génie au-dessus d’un aérodrome de Castres. Trois autres avions ont largué 48 heures d’équipement et de fournitures pour permettre à la force de sécuriser et de tenir la zone.
Dans une autre phase, 700 soldats amphibies ont débarqué ainsi que des véhicules et des équipements des porte-hélicoptères amphibies de la marine française Tonnerre et Mistral. Il s’agit de deux navires amphibies connus des forces armées grecques, ayant visité la Grèce et mené des exercices conjoints avec la 32e brigade de marine.
Ils ont atterri dans la ville côtière de Sète avant de se diriger plus au nord pour mener des manœuvres et des scénarios d’opérations spéciales.
Les images diffusées comprennent des images de parachutistes français débarquant à Castres et de troupes amphibies françaises débarquant à Sète, ainsi que des interviews d’officiers français.
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